Ouverture du Conseil Mondial de CGLU: 500 dirigeants locaux et régionaux contribuent au débat international sur la durabilité

Sur invitation du Maire de Florence, Matteo Renzi, la Ville de Florence accueille les élus locaux et régionaux de 40 pays différents pour la tenue du Conseil Mondial de Cités et Gouvernements Locaux Unis du 9 au 11 décembre.

Le Conseil a été ouvert par Kadir Topbas, Maire d´Istanbul (Turquie) et Président de CGLU, et par Matteo Renzi, Maire de Florence. Matteo Renzi a réaffirmé le rôle crucial de la coopération entre villes dans le contexte actuel. La Déclaration de Florence, rappelant les valeurs centrales des villes, a été affirmée.

Dans son discours d´ouverture, le Président de CGLU a souligné que la construction d´une gouvernance du bas vers le haut est cruciale pour l´avenir de notre planète. Nos citoyens sont dans la rue et demandent des solutions. Nous, les dirigeants locaux et régionaux, devons être engagés dans la solution mondiale qui est actuellement recherchée.

Les discussions du premier jour ont porté sur la définition de la stratégie de CGLU pour les six prochaines années et ont prêté une attention particulière à la contribution des autorités locales et régionales au débat international sur la durabilité et Rio+20.

Brice Lalonde, Coordinateur exécutif pour Rio+20 a mis l´emphase sur le besoin d´inclure les autorités locales et régionales dans le débat international sur la durabilité.

En vue de la préparation du Forum Mondial de l´Eau qui se tiendra à Marseille en 2012, un mémorandum d´accord a été signé entre le Conseil Mondial de l´Eau et CGLU. Loïc Fauchon, Président du Conseil Mondial de l´Eau a souligné l´importance d´une collaboration entre les deux institutions.

La rencontre peut compter sur la présence des maires des villes de Rabat, Dakar, Paris, Stuttgart et Séville et sur la participation de nombreux maires de villes italiennes. Le Conseil a également rassemblé les partenaires entrepreneuriaux et des partenaires internationaux majeurs : représentants de l´Alliance des Villes, de la CCNUCC (Conférence des Nations Unies sur les Changements Climatiques) et de l´OCDE.

Lors des 30 sessions de travail couvrant des sujets allant de l´efficacité de l´aide à l´inclusion sociale, les membres de CGLU ont l´occasion unique d´échanger sur des initiatives entre le secteur public et privé sur des thématiques comme la mobilité, l´accès à l´eau ou l´énergie. Les sessions formelles du Bureau Exécutif et du Conseil Mondial se tiennent le dimanche 11 décembre.

Le Conseil Mondial est présidé par Kadir Topbas, Maire d´Istanbul (Turquie) et Président de CGLU, et par les Co-Présidents Antonio Costa, Maire de Lisbonne (Portugal), Muchadeyi Masunda, Maire de Harare (Zimbabwe), Ilsur Metshin, Maire de Kazan (Russie) et par Ted Ellis, Maire de Bluffton (USA), Trésorier.

Cités et Gouvernements Locaux Unis (CGLU) est la plus grande organisation de gouvernements locaux et régionaux dans le monde. CGLU représente et défend les intérêts des gouvernements locaux sur la scène mondiale, quelles que soient la taille des collectivités qu´elle appui. L´organisation s´est fixée la mission d´être la voix unifiée et le défenseur de l´autonomie locale démocratique, de promouvoir ses valeurs, ses objectifs et ses intérêts, au travers de la coopération entre les gouvernements locaux, comme au sein de la communauté internationale

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Réunion de la Comission á Florence

Chers membres de les Commissions de :

Villes Numériques et de la Connaissance

Planification Urbaine

Mobilité Urbaine

Comme c´est de votre connaissance du 9 au 11 décembre aura lieu dans la Ville de Florence, la réunion annuelle du Conseil Mondial de CGLU.

Depuis la Présidence de les trois Commissions, nous croions que le thématique de notre commissions ont beaucoup de relation, pour cette nous croions que il est de grand intérêt que nous travaillons ensemble con l´objectif de trouver des actions et projets communes.

En profitante de la réunion du Conseil Mondial de CGLU, nous avions organisé une réunion joindre entre les trois commissions, que nous permettre de avancer sur cette idée.

La réunion aura lieu le 9 décembre à 13:30 dans le Palazzo Vecchio

Veuillez cliquer sur les liens suivants pour accéder à l´Agenda de la réunion :

La réunion est ouverte à tous mais nous apprécierons si vous confirmiez dans les meilleurs délais votre participation en envoyant un courriel au Secrétariat de votre commission:

Villes Numériques et de la Connaissance:bilbaonext.promoción@ayto.bilbao.net

Planification Urbaine: s.hoeflich@cities-localgovernments.org

Mobilité Urbaine: Wolfgang.Forderer@stuttgart.de


Funcionarios de 24 países se citan en Bilbao para crear ´ciudades inteligentes´

Bilbao se convertirá la próxima semana en la capital mundial de las nuevas tecnologías aplicadas al mundo de la Administración pública. Desde el miércoles hasta el viernes, el Palacio Euskalduna acogerá el XII Encuentro Iberoamericano de Ciudades Digitales. Se trata de una cita de gran repercusión internacional donde se reunirán alcaldes, diputados y altos funcionarios de diversos países iberoamericanos, así como de Estados Unidos y Canadá. El evento contará además con un ponente de excepción: el expresidente de Colombia Álvaro Uribe.

La irrupción en nuestras vidas de internet ha supuesto un cambio drástico en la manera de comunicarnos. Esta revolución también ha modificado la manera que las instituciones tienen de relacionarse con los ciudadanos. Con un simple ´clic´, ahora una persona puede acceder a sus datos de la seguridad social, concertar una cita con el médico o solicitar una licencia de obras. Todo ello sin esperar colas desde el calor del hogar a través de un ordenador. El acto está organizado por la fundación BiscaiTIK -organismo que depende de la Diputación- y cuenta con el apoyo de la Asociación Iberoamericana de Centros de Investigación y Empresas de Telecomunicaciones (AHCIET).

Expertos en la modernización de los servicios del funcionariado y representantes de las principales empresas del sector unirán sus esfuerzos para crear «urbes inteligentes donde se potencie el desarrollo personal, social y económico de la población». El congreso contará con una zona dedicada a la exposición comercial en la que se expondrán las últimas novedades en esta industria. «Será una oportunidad excelente para que las empresas de Bizkaia penetren en el continente Americano», señala Juan Mari Aburto, portavoz de la Diputación vizcaína.

«La creación de espacios de convivencia innovadores no tiene vuelta atrás», señala Aburto. Opina también que «la línea de modernización que se está siguiendo por las instituciones es la correcta» y cree que «llegará el día en que se instalen aplicaciones informáticas que incrementen la participación ciudadana en el mundo de la política».

Fuente: El Correo


Publication par l´UIT des dernières données sur les prix et la pénétration des TIC dans le monde

La Corée est en tête

Les prix du large bande ont baissé de 50% entre 2008 et 2010

D´énormes écarts séparent les pays pour ce qui est du débit et de la qualité du large bande

Genève, le 15 septembre 2011 - Les nouveaux chiffres publiés aujourd´hui par l´UIT montrent que les technologies de l´information et de la communication (TIC) continuent de gagner du terrain partout dans le monde, bénéficiant de la baisse continue des prix de la téléphonie et des services Internet large bande.

Selon le rapport annuel phare de l´UIT Mesurer la société de l´information 2011, la République de Corée est l´économie mondiale la plus avancée en matière de TIC, suivie de la Suède, de l´Islande, du Danemark et de la Finlande.

Un des éléments clés de ce rapport est l´Indice du développement des TIC (IDI)*, qui établit un classement de 152 pays en fonction de leur accès aux TIC, de leur utilisation de ces technologies et de leurs compétences dans ce domaine, et compare les résultats de 2008 et 2010. La plupart des pays du haut du classement sont des pays d´Europe ou de l´Asie Pacifique. Les Emirats arabes unis et la Russie occupent la première place dans leur région respective et l´Uruguay est en tête en Amérique du Sud. L´Arabie saoudite, le Maroc, le Viet Nam et la Russie font partie des pays les plus dynamiques en 2008 et 2010, chacun réalisant des avancées sensibles dans le classement IDI.

Tous les pays pris en compte dans cet indice ont amélioré leur situation cette année, preuve que les TIC sont de plus en plus omniprésentes dans la société mondiale de l´information. "Si les pays en tête de la liste de l´IDI appartiennent tous au monde développé, il est extrêmement encourageant de voir que ceux qui enregistrent les performances les plus dynamiques sont les pays en développement", a déclaré le Dr Hamadoun Touré, Secrétaire général de l´UIT. "Le "miracle du mobile" met les services de TIC à la portée des populations et des communautés les plus démunies. Le défi est maintenant de rééditer ce succès pour le large bande". Le rapport montre que, s´il y a une étroite corrélation entre les TIC et les niveaux de revenus, une bonne combinaison de politiques publiques peut accélérer l´adoption du large bande et plusieurs pays, dont l´Australie, le Japon, la Nouvelle-Zélande et la République de Corée, atteignent des niveaux d´indice IDI supérieurs à ce que leur niveau de revenu pourrait donner à penser.

Le mobile devient ubiquitaire

La pénétration des réseaux mobiles dans les pays en développement reste dynamique, avec une hausse de 20% des abonnements mobiles l´année passée et aucun signe de ralentissement.

Dans les pays développés en revanche, la pénétration du cellulaire mobile est arrivée à saturation, avec des taux de pénétration supérieurs à 100% à la fin de 2010, contre 70% pour les pays en développement. Avec plus de cinq milliards d´abonnements et une couverture mondiale de plus de 90% de la population, le cellulaire mobile est aujourd´hui de fait ubiquitaire.

Les services large bande mobiles ("3G") progressent aussi rapidement; fin 2010, 154 pays avaient mis en place des 3G. L´accès à l´Internet hertzien large bande reste le secteur le plus porteur et le large bande mobile est en plein essor dans les pays en développement, où son taux de croissance a été de 160% entre 2009 et 2010. Les pays qui ont le plus nettement progressé dans le classement pour le sous-indice "utilisation des TIC" sont principalement ceux où l´augmentation du nombre d´abonnements au large bande mobile a été la plus significative.

A l´inverse, le nombre d´abonnements pour des connexions commutées a commencé à décliner rapidement en 2007 et, si l´on en croit l´évolution actuelle, la "disparition des connexions commutées" devrait intervenir au cours des prochaines années.

Les prix baissent, mais sont encore excessifs pour le monde en développement

Dans l´ensemble, les services de télécommunication et Internet sont de plus en plus abordables. Selon le panier des prix TIC (IPB) 2010, qui est un indice appliqué à 165 économies et basé sur le prix des services de téléphonie fixes, le prix des services de téléphonie cellulaire mobile et le prix des services Internet large bande fixes, le coût des services TIC a diminué globalement de 18% entre 2008 et 2010; c´est pour les services Internet large bande fixes que la baisse a été la plus forte puisque les prix ont baissé de 52%.

Les dix pays les mieux classés selon le panier IPB ont un revenu national brut (RNB) par habitant élevé et, à l´exception des Emirats arabes unis, sont tous des pays d´Europe ou de la région Asie Pacifique. Dans les pays développés, le coût moyen des services de TIC ne représente pas plus de 1,5% du revenu mensuel par habitant, contre 17% pour les pays en développement. Mais même si les prix du large bande ont fortement chuté partout dans le monde, le prix de l´accès Internet fixe haut débit reste inabordable dans de nombreux pays à faible revenu. Ainsi, en Afrique à la fin de 2010, les services large bande fixes coûtaient en moyenne l´équivalent de 290% du revenu mensuel, en baisse depuis le niveau de 650% en 2008.

Grandes disparités en matière de débit et de qualité du service

En comparant les technologies et les services large bande fixes et mobiles, le rapport met aussi en évidence de très fortes disparités au plan de la capacité des réseaux, de leur débit et de leur qualité.

Dans de nombreux pays en développement, le débit minimal pour une connexion large bande (256 kbit/s) peut être suffisant pour le courrier électronique et d´autres services de base, mais il ne convient pas pour des applications ou des services à forte intensité de données et riches en graphiques. En outre, le rapport note que le débit effectif fourni aux abonnés au large bande fixe ou au large bande mobile est souvent bien inférieur au débit théorique annoncé, et il souhaite que les régulateurs encouragent les opérateurs à donner à leurs clients des informations claires en ce qui concerne la couverture, le débit et les prix.

"Une nouvelle fracture numérique se creuse entre ceux qui ont un accès à haut débit/grande capacité/de bonne qualité (comme c´est le cas dans de nombreux pays à revenus élevés) et ceux pour lesquels le débit/la capacité/la qualité de l´accès sont inférieurs (comme c´est le cas dans de nombreux pays à faible revenu)", a déclaré M. Brahima Sanou, Directeur du bureau de développement des télécommunications de l´UIT. "Les décideurs devraient rapidement prendre des mesures pour faciliter la diffusion du large bande et veiller à ce que les services ainsi fournis soient rapides, fiables et économiquement abordables."

Le rapport montre en outre qu´il y a entre les services large bande fixes et les services large bande mobiles des différences qualitatives importantes. La capacité et le débit moyens pour un abonnement au large bande mobile ne correspondent pas habituellement à ceux proposés pour un abonnement fixe haut débit et les abonnements au large bande mobiles comportent presque toujours des plafonds en ce qui concerne le volume de données, ce qui n´est pas le cas pour les abonnements au large bande fixes où le volume de données est souvent illimité. Cela est un véritable problème dans les pays où les technologies large bande mobiles sont les seules technologies d´accès large bande dont disposent les utilisateurs finals, ce qui est le cas de nombreux pays en développement.

Cibler la jeunesse pourrait être la voie du changement

Il ressort des travaux de l´UIT que la manière la plus efficace d´accroître l´usage d´Internet dans les pays en développement serait de cibler les étudiants. Dans ces pays, l´Internet n´est utilisé que par 21% environ de la population, par rapport à 70% dans les pays développés.

Le rapport Mesurer la société de l´information 2011 fait apparaître que les principaux obstacles à l´utilisation d´Internet ne sont pas nécessairement liés à l´infrastructure ou aux prix. Les schémas d´utilisation montrent qu´il y a aussi de grandes différences selon le niveau d´éducation, le sexe, le revenu, l´âge et la localisation géographique des utilisateurs (zone urbaine/rurale). Par exemple, il y a très peu de différences en termes d´utilisation de l´Internet entre habitants des pays en développement et habitants des pays développés ayant un très bon niveau d´éducation et un revenu élevé. Les personnes diplômées de l´enseignement supérieur utilisent l´Internet plus que celles qui ont un niveau d´études inférieur; et en moyenne davantage d´hommes que de femmes utilisent l´Internet.

Les jeunes gens (moins de 25 ans) sont davantage connectés à l´Internet que les personnes plus âgées, et les étudiants utilisent l´Internet plus que ceux qui ont terminé leurs études. Si l´on suppose que les personnes habituées à se connecter continueront d´utiliser l´Internet, on peut penser que les personnes actuellement inscrites à l´école ou à l´université seront vraisemblablement de futurs internautes. Pour la jeune génération du monde entier, les réseaux sociaux et les contenus créés par l´utilisateur sont devenus des moteurs essentiels du développement de l´Internet.

Etant donné que 46% de la population des pays en développement a moins de 25 ans (soit plus de 2,5 milliards d´individus), le rapport suggère que ces pays pourraient faire augmenter de façon significative l´utilisation de l´Internet en ciblant les jeunes générations, par exemple en privilégiant la connectivité des écoles et d´autres établissements d´enseignement et en améliorant les taux de scolarisation.

* Note aux éditeurs:

L´indice IDI réunit 11 indicateurs qui ensemble constituent un outil pour l´établissement de comparaisons aux niveaux mondial, régional et national, ce qui permet de suivre la progression des TIC au fil du temps. Cet indice mesure l´accès aux TIC, l´utilisation de ces technologies et les compétences dans ce domaine, sur la base d´indicateurs tels que le nombre d´abonnés au cellulaire mobile, le nombre de ménages ayant un ordinateur, le nombre d´abonnés à l´Internet fixe large bande et au mobile large bande et le taux d´alphabétisation. Pour la première fois cette année, le sous-indice "utilisation des TIC" a progressé plus vite que le sous-indice "accès aux TIC", signe que de nombreux pays ont atteint un seuil de saturation pour ce qui est des infrastructures de base et deviennent des utilisateurs actifs des TIC.

Un résumé du rapport peut être consulté sur:
www.itu.int/ITU-D/ict/publications/idi/2011/

Vous trouverez des photographies haute résolution sur:
www.itu.int/net/pressoffice/press_releases/2011/31_cover.aspx


El plan digital de Nueva York

El ayuntamiento de Nueva York ha presentado su hoja de ruta para potenciar el uso de los medios digitales entre departamentos públicos, ciudadanos y el sector privado. El objetivo es incentivar la implicación de la ciudadanía, facilitar el acceso a las nuevas tecnologías, abrir datos públicos y promocionar la industria tecnológica.

Nueva York quiere liderar en EEUU el concepto de ciudad digital y parte del plan son los acuerdos con plataformas como Facebook, Twitter, Foursquare y Tumblr en el marco de una nueva estrategia para mejorar la comunicación entre ayuntamiento y ciudadanos.

El plan incluye las siguientes acciones:

- Rediseño de la web nyc.gov invitando a desarrolladores para que expongan sus ideas en un campus tecnológico este verano.

- Página oficial del ayuntamiento en Facebook, enlaces con el servicio de atención ciudadana 311 y espacio para la participación (debates, encuestas, etc).

- Canal en Twitter para informar de noticias y servicios de la ciudad con la posibilidad de recibir las actualizaciones mediante SMS: @nycgov

- A través de Foursquare se podrá hacer check-in en espacios públicos y se ofrecerá a las pymes un kit de herramientas para aprovechar las oportunidades de marketing.

- Tumblr trabajará con el ayuntamiento para mejorar la comunicación de sus departamentos y servicios utilizando su sistema para compartir contenidos.

- Aumento de la red de wifi pública y banda ancha.

- Mayor transparencia y acceso a los servicios públicos ofeciendo datos a través de APIs.

- Creación de un hub para recibir feedback de la comunidad de desarrolladores y de una App Store para la ciudad.

- Soporte del sector digital para atraer talento e inversiones.

Un ejemplo del apoyo a la industria local es, por ejemplo, que Foursquare y Tumblr son compañías de Nueva York y para la elaboración de este plan se han realizado 4.000 contactos para fortalecer la comunidad tecnológica de la ciudad.

A nivel de estrategia, el ayuntamiento cuenta con más de 200 canales en medios sociales, por lo que se centralizarán los mecanismos de intercambio de información y los departamentos recibirán asesoramiento de agencias de medios digitales.

A partir de esta colaboración pública-privada se formará un grupo de trabajo llamado SMART (Social Media Advisory & Research Taskforce) que gestionará la presencia del ayuntamiento en redes sociales y elaborará guías, recomendaciones y políticas de social media.

Descargar informe en pdf: Road Map For The Digital City


La Ville de Suresnes s´incorpore à la Commission

La Ville de Suresnes, la France, s´a incorporé recentement a la Comission des Villes Numériques et de la Connaissance de CGLU.

La Ville de Suresnes a mis en place depuis quelques mois un projet intitulé « Suresnes, ville numérique », ayant entre autres pour objectifs d´élaborer un plan stratégique du numérique, sur la base d´un diagnostic partagé.

www.suresnes.fr


Nomination de Josep Roig comme Secrétaire Général de CGLU

Le Bureau Exécutif de CGLU, qui s´est réuni à Rabat, a nommé Josep Roig au poste de Secrétaire Général de CGLU, finalisant ainsi le processus de sélection international qui avait été lancé.

Josep Roig, Secrétaire Général de Metropolis depuis 2000, est impliqué dans la Section métropolitaine de CGLU en tant que membre actif et fondateur depuis 1985. Economiste de formation, il a travaillé pour la région métropolitaine de Barcelone à différents postes et a également été Directeur exécutif de l´Université de Barcelone de 1990 à 1994.

Pendant le discours qu´il a prononcé devant 216 dirigeants de collectivités locales de 40 pays à l´occasion de sa nomination, M. Roig a exprimé sa gratitude de se voir confier cette tâche ambitieuse et a souligné le besoin de renforcer le rôle de CGLU en tant que réseau des réseaux travaillant sur le plaidoyer et l´innovation.

Josep Roig prendra ses nouvelles responsabilités au mois de septembre. D´ici là, M. Clarence Anthony poursuivra son travail en tant que Directeur par intérim de CGLU.

Source: www.cities-localgovernments.org


214 dirigeants locaux et régionaux de 40 pays se réunissent à Rabat

Le 12e Bureau Exécutif de CGLU, accueilli par la Ville de Rabat (Maroc), a été officiellement ouvert par Fathallah Oualalou, Maire de Rabat. Comptant sur la présence de plus de 300 participants et incluant plus de 200 dirigeants locaux et régionaux de tous les continents, le Bureau Exécutif se tient du 22 au 24 juin dans la capitale du Maroc. Il s´agit de la première réunion statutaire du Bureau après le renouvellement des Organes Statutaires de l´Organisation lors du Congrès Mondial de Mexico en novembre 2010.

L´un des principaux résultats du Bureau est la nomination de Josep Roig, Secrétaire Général de Métropolis, au poste de Secrétaire Général de CGLU. Le Président de CGLU, Kadir Topbas, a exprimé la confiance que porte l´Organisation Mondiale à M. Roig et à sa capacité de mener à bien les travaux de CGLU. Le Secrétaire Général de CGLU nouvellement nommé a exprimé son honneur d´être choisi pour ce poste et a affirmé son intérêt à travailler avec tous les membres et régions afin de rendre l´Organisation Mondiale encore plus forte.

Le Bureau Exécutif était présidé par Kadir Topbas, Maire d´Istanbul (Turquie) et Président de CGLU,  par le Co-président Antonio Costa, Maire de Lisbonne (Portugal) et par Fathallah Oualalou, Maire de Rabat (Maroc).

Le jeudi 23, la session d´ouverture était dédiée au thème de l´innovation pour les gouvernements locaux et régionaux. Cette session a inclus des présentations de Wan Qingliang, Co-présdent de CGLU et maire de Canton (Chine), d´Anne-Marie Jorritsma, maire d´Almere (Pays-Bas) et Présidente de l´Association des Municipalités Néerlandaises, et d´invités spéciaux de la Banque Mondiale, de Cities Alliance ainsi que de représentants des gouvernements nationaux et des institutions financières.

Dans son discours d´ouverture, le Président de CGLU, Kadir Topbas, Maire d´Istanbul, a résumé l´action de la Présidence de CGLU depuis le Congrès Mondial à Mexico en trois piliers : diriger l´Organisation ; accroître les adhésions et être le porte-parole des gouvernements locaux sur la scène internationale. Le Président Topbas a fait part du besoin de promouvoir des gouvernements locaux démocratiques forts, au service des citoyens dans le monde entier. Il a souligné les évolutions positives des relations entre les Nations Unies et CGLU et a rappelé que Ban Ki Moon avait récemment défini CGLU comme un «  allié mondial » des Nations Unies lors de la Conférence des Maires des Etats-Unis. Il a par ailleurs mis en lumière le travail important effectué par CGLU dans la mise à jour de l´agenda sur la durabilité, la définition de la culture en tant que 4e pilier du développement durable, le renouvellement de l´agenda sur l´efficacité de l´aide et la question cruciale de la santé et de l´accès aux services de base.

Le Bureau Exécutif est convenu de créer une Commission Permanente sur l´Egalité des Genres, afin de favoriser la participation des femmes aux processus de prise de décision locale et de renforcer le rôle des femmes élues dans tous les travaux de CGLU.

Le séminaire régional sur le financement des infrastructures en Afrique a rassemblé 80 dirigeants locaux de la plupart des régions d´Afrique et a formulé des recommandations sur l´infrastructure urbaine en Afrique.

Les membres ont par ailleurs donné leur accord sur le choix du thème du 3e Rapport Mondial sur la Démocratie Locale et la Décentralisation (GOLD III), qui se centrera donc sur la gouvernance des services publics de base.  Le Bureau Exécutif a enfin consacré une journée entière à la redéfinition des priorités stratégiques de CGLU, après ses six premières années d´existence.

Les dirigeants de CGLU ont enfin lancé un appel à la solidarité et ont dénoncé la situation des populations civiles victimes de destructions et d´oppression de la part de leur gouvernement, en particulier à l´heure actuelle dans les pays du bassin méditerranéen et au Moyen-Orient.

Cités et Gouvernements Locaux Unis (CGLU) est la plus grande organisation de gouvernements locaux et régionaux dans le monde. CGLU représente et défend les intérêts des gouvernements locaux sur la scène mondiale, quelle que soit la taille des collectivités qu´elle appuie. L´organisation s´est fixé la mission d´être la voix unifiée et le défenseur de l´autonomie locale démocratique, de promouvoir ses valeurs, ses objectifs et ses intérêts, au travers de la coopération entre les gouvernements locaux, comme au sein de la communauté internationale.


Bilbao est finaliste pour la « World Design Capital 2014 »

Bilbao est choisi comme finaliste avec Cape Town (Afrique du Sud) et Dublin (Irlande) devenir la « World Design Capital 2014 » (WDC 2014). 56 villes de 24 pays ont exprimé leur intérêt à être la « World Design Capital 2014 » et Bilbao est resté finaliste avec les autres deux villes. La Ville pourra se transformer en référence de la conception internationale.

Au mois d´octobre à Taïpeh (Taiwan) dans le Congrès 2011 de l´AIF le Conseil International des Sociétés de Conception Industrielle (ICSID) annoncera la ville gagnante. Ce congrès aura lieu entre les 24 et 26 octobre.

La désignation comme « World Design Capital », qui jusqu´à présent a retombé les villes de Turin (2008), Séoul (2010) et Helsinki (2012), il suppose la reconnaissance internationale des villes qui utilisent la conception d´une manière effective et efficace pour promouvoir la revitalisation et l´amélioration de la qualité de vie de la citoyenneté

Après la présélection des trois villes finalistes, dans les prochains mois ils seront visités par le Comité Organisateur du « World Design Capital » (WDC) et on complétera la sélection des villes finalistes, une dont sera nommé Capital Mondial de la Conception, dans les actes programmés à l´occasion de l´exposé International de la Conception qui aura lieu à Taiwan à la fin du mois d´octobre.

La devise de Bilbao : La Conception de Villes proposée pour « Bilbao World Design Capital 2014 »; il suppose la continuation de l´effort en pour préparer Bilbao pour les défis du futur. Bilbao est un point de référence la conception et de la transformation urbaine. La transformation urbaine incroyable que Bilbao a éprouvée durant les dernières 25 années, suppose un contexte approprié pour faire valoir la « World Design Capital 2014 (WDC2014) » et un moment clef pour une nouvelle transformation guidée par la conception qui porte à la ville vers une économie créative basée la connaissance.

Source : www.bilbaointernational.com


UN declares Internet access a human right

As evidenced by the Facebook Revolutions and ensuing Middle East turmoil, the Internet is a powerful tool and one capable of change. Of course, its eliminating citizen use of the Web under oppressive regimes has also yielded consequences. Perhaps inspired by these effects, the UN has declared the Internet a human right. A recent report titled "Report of the Special Rapporteur on the promotion and protection of the right to freedom of opinion and expression" declares that Internet access falls under freedom of expression.

"The unique and transformative nature of the Internet not only [enables] individuals to exercise their right to freedom of opinion and expression, but also a range of other human rights, and to promote the progress of society as a whole." Special rapporteur Frank La Rue also acknowledges that the Web has become too important a tool to asserting other human rights for people to be denied its use. "Given that the Internet has become an indispensable tool for realizing a range of human rights, combating inequality, and accelerating development and human progress, ensuring universal access to the Internet should be a priority for all states."

While the report may have especially poignant significance for Middle Eastern nations, it applies internationally. "Each state should thus develop a concrete and effective policy to make the Internet widely available, accessible, and affordable to all segments of population." The US National Telecommunications and Information Association (NCIA) are collaborating with the FCC to analyze the state of broadband availability in the country. Recent findings revealed that a five to 10 percent of American cannot access Internet speeds that allow basic Web functions. So if you think this is merely a third-world problem or issue with oppressive governments, you´d be wrong.

Of course, these events are why such a policy has become relevant: "The recent wave of demonstrations in countries across the Middle East and North African region has shown thekey role that the Internet can play in mobilizing the population to call for justice, equality,accountability and better respect for human rights. As such, facilitating access to theInternet for all individuals, with as little restriction to online content as possible, should be apriority for all States."

But is anything going to come out of this report? Last year, a BBC World Service study found that four out of five adults thought Internet access was a fundamental right, and participants from China, Mexico, Nigeria, Brazil, and South Korea were just among some of the countries that majorly agreed with this. Which means that despite these largely held beliefs, opponents are still denying people this alleged right.

 www.telecomcomments.com