La Commission a présenté le « Smart Cities Study » pendant la réunion annuelle à Dakar

Depuis la Commission des Villes Numériques et de la Connaissance de CGLU, nous avons travaillé sur le développement du «SMART CITIES STUDY: Etude internationale sur la situation des TIC, de l´innovation et de la connaissance dans les villes», dans lequel 28 villes de tout le monde ont collaboré, et a les quelles nous voulons remercier pour sa support en la réalisation du.

L´Etude ne cherche pas faire un ranking des Villes. Autrement, il veut devenir un document de référence pour les membres de CGLU a fin de montrer le progrès des Villes au domaine des TIC, de l´innovation et de la connaissance. Également il veut apporter un guide des bonnes pratiques et des expériences qui aidera à impulser l´échange de connaisseuse entre les villes.

Apres le travail développé pendant les dernier mois, le document final est terminé. Le document est disponible en version espagnole et anglaise dans la page web de la commission.

À l´occasion de la réunion du Conseil Mondial de CGLU nous avons présenté officiellement l´Etude à sein de CGLU ainsi que devant les membres de la Commission lors de sa réunion annuelle qui se tenu le 5 à Dakar (Sénégal).

Depuis la Commission nous espérons que le document est de votre intérêt.


300 dirigeants locaux et régionaux à Dakar pour contribuer à l´agenda international du développement et préparer le nouvel agenda urbain

Plus de 300 membres de CGLU en provenance de 40 pays du monde entier sont attendus au Conseil Mondial de CGLU, qui se tient à Dakar (Sénégal) du 4 au 6 décembre 2012, à l´aimable invitation de Khalifa Sall, Maire de Dakar.

Kadir Topbaş, Maire d´Istanbul (Turquie) et Président de CGLU, Muchadeyi Masunda, Maire de Harare (Zimbabwe), Ilsur Metshin, Maire de Kazan (Russie) et Co-Présidents de CGLU, présideront les réunions du Bureau Exécutif et du Conseil Mondial de CGLU. De nombreux représentants des cinq continents, et particulièrement d´Afrique, seront présents parmis lesquels Wolfgang Schüster, maire de Stuttgart (Allemagne),Bertrand Delanoë, Maire de Paris (France), Fatallah Oualalou maire de Rabat, (Maroc). Les Présidents des Associations nationales de gouvernements locaux du Canada, Cambodge,     Ecosse, France, Mauritanie, Mozambique, Sénégal, Suède, ont également confirmé leur présence.

Les dirigeants locaux et régionaux concentreront leurs travaux sur la préparation à l´agenda Habitat III ainsi que la contribution à l´agenda international du développement post-2015 : service de base, égalité, développement local.  La position des gouvernements locaux et régionaux est essentielle à la définition d´un nouvel agenda urbain. Deux sessions plénières se tiendront sur ces sujets, avec la participation des partenaires de CGLU, incluant Joan Clos, Directeur d´Exécutif d´ONU-Habitat, des représentants de la Banque Mondiale, de Cities Alliance et de la Commission Européenne. Les Commissions et Groupes de Travail de CGLU se réuniront les 4 et 5 décembre.

L´évènement est organisé parallèlement au Sommet Africités, qui se tient du 4 au 8 décembre, accueillant près de 5000 participants et qui aura pour thème : "Construire l´Afrique à partir de ses territoires : quels défis pour les collectivités territoriales?"

Le premier Forum Mondial des Régions se tiendra le 4 décembre, organisé conjointement par Cités et Gouvernements Locaux Unis (CGLU) et l´Organisation des Régions Unies- FOGAR (ORU-FOGAR), rassemblera des représentants d´autorités régionales issus du monde entier. Ce Forum Mondial des Régions à Dakar réunira des présidents de régions, des élus locaux et leurs partenaires et sera l´occasion inédite d´échanger entre élus et de définir une feuille de route commune pour peser au mieux dans l´agenda international à venir, notamment dans la préparation d´Habitat III et dans le processus de négociation des Objectifs du Millénaire pour le Développement Post 2015 et les futurs Objectifs de Développement Durable.


Prochaine réunion de la commission à Dakar le 5 décembre

Chers collègues, membres et partenaires de la Commission :

Comme vous le savez, du 5 au 6 décembre aura lieu dans la Ville de Dakar la réunion annuelle du Conseil Mondial de CGLU dans le cadre du 6ème Sommet Africités. Vous pouvez accéder à l´information par le lien suivant : Conseil Mondial de CGLU 2012.

Les Présidences des trois Commissions sont d´avis que l´expérience menée l´année dernière avec l´organisation d´une réunion pour les membres des trois Commissions était très intéressante. C´est pour cette raison que nous avons décidé de continuer dans cette voie et d´organiser à nouveau une réunion en commun, visant ainsi à renforcer la collaboration entre les trois Commissions.

La réunion aura lieu le 5 décembre de 12:00 à 13:15 à l´Hôtel des Almadies

 

Veuillez cliquer sur le lien suivant pour accéder à l´ordre du jour de la réunion :

Ordre du jour de la réunion

La Commission Villes Numériques et de la Connaissance profitera de cette occasion pour présenter le « Smart Cities Study : Étude Internationale sur la situation des TIC, l´Innovation et la Connaissance dans les Villes » développée par la Commission en 2012.

La réunion est ouverte à tous mais nous vous serions reconnaissants de bien vouloir confirmer votre participation dans les meilleurs délais en envoyant un courriel au Secrétariat de votre Commission :

Villes Numériques et de la Connaissance : bilbaonext.promocion@ayto.bilbao.net

Planification Urbaine : s.hoeflich@uclg.org

Mobilité Urbaine : Wolfgang.Forderer@stuttgart.de

En outre, la Commission Planification Stratégique Urbaine, CGLU, CGLUA et Metropolis organisent conjointement une session spéciale intitulée : « Apprentissage et leadership des pairs au niveau local : un moyen pour changer nos villes ? » le 6 décembre de 9:00 à 12:00 au centre de conférence de l´Hôtel King Fahd - niveau 0. Les contributions des pays d´Afrique, des villes brésiliennes et de Bilbao sont prévues pour évaluer les associations présentes, identifier les difficultés et proposer des actions futures que l´on puisse concrétiser en initiatives d´apprentissage. Plus d´infos dans les liens ci-dessous.

Nous restons à votre disposition pour tout complément d´information.

 

Plus d´informations :

Proposition de marche - Comité de la mobilité urbaine (anglais)

Agenda de la session d´apprentissage du Comité USP (anglais)

Rapport d´activités de la Commission des Villes Numériques et de la Connaissance 2012

Document de discussion du Comité USP pour la réunion de Dakar (anglais)


El alma de la ciudad inteligente

Los habitantes de las ´smart cities´ serán clave para converger hacia unas ciudades más participativas, competitivas y sostenibles La tecnología confiere un rol activo a las personas, los mejores sensores de las incidencias del entorno

¿Qué queda de la democracia de la antigua Grecia, cuna de la civilización occidental, donde las asambleas de ciudadanos decidían el futuro de las polis? Eran ciudades con pocos habitantes y eso hacía posible que todos los hombres libres se sucedieran en el poder. Con el paso de los siglos, las urbes han ido aumentando en densidad de población y superficie, y la capacidad de influencia del ciudadano ha menguado de forma inversamente proporcional, asumiendo un rol cada vez más pasivo en la gestión de su entorno. Paradojas, la tecnología, tantas veces criticada por deshumanizar la sociedad, puede contribuir a que el ciudadano recupere poco a poco el protagonismo perdido.

En los próximos 40 años, el 75% de la población mundial vivirá en ciudades, una cifra que obliga a un replanteamiento urbanístico para evitar el colapso socioeconómico y el desastre medioambiental. Las tecnologías de la información son las herramientas para poder procesar ese cambio necesario, pero ninguna smart city es posible sin el ciudadano inteligente, auténtica alma del proceso y gran beneficiario de la transformación. "En esas urbes, los habitantes son sensores para recopilar información del entorno, detectar anomalías y mapearlas, pero también para aportar creatividad", resume Peter Hirshberg, consejero delegado de The Reimagine Group y participante en el congreso mundial Smart City Expo, que acoge la Feria de Barcelona a partir de mañana.

Un ejemplo del ciudadano sensor está en la ciudad de Boston (EEUU), que ha creado una aplicación diseñada para smartphones capaz de detectar socavones en el asfalto. Al registrar una sacudida brusca en los trayectos en coche, envía un aviso al ayuntamiento con la geolocalización del agujero para que pueda repararse. Con un ínfimo esfuerzo del individuo, mejoran las infraestructuras, se ahorran recursos públicos y, además, hay premio: el vecino verá reducidas sus tasas municipales. Empresas de todo el mundo ya piden a los ciudadanos que a través de sus dispositivos móviles transmitan datos de polución y contaminación acústica. Estadísticas que, por ejemplo, querrán consultar las familias que piensen en mudarse de barrio.

La democratización de la información es una de las claves que explica el tremendo potencial de las urbes inteligentes. Si los ciudadanos pueden acceder a las valiosas bases de datos recabadas por administraciones públicas durante décadas, es muy probable que de entre las masas surja alguien con una idea genial, en la que nadie había reparado hasta entonces.

Para Peter Hirshberg, las ciudades más inteligentes sabrán mejorar su horizonte con una fórmula "transversal e inclusiva", en la que la participación ciudadana será "fuente vital de desarrollo e innovación". Así, la metrópoli será un espacio más competitivo, con una "Administración transparente", en la que los ciudadanos, que conocen como nadie los problemas del barrio, comprobarán con qué eficiencia se están resolviendo todos ellos.

Aunque no lo parezca, muchos de esos problemas son comunes en ciudades de los cinco continentes, por lo que merece la pena compartir experiencias para afrontar los desafíos que depara el futuro. A partir de esa idea nace el City Protocol, proyecto impulsado por Barcelona que engloba a empresas, universidades y urbes de todo el mundo para que las mejoras en sostenibilidad, eficiencia y servicios mejoren la calidad de vida de los vecinos de una ciudad española y también de los de cualquier barrio de Lima, Maputo o Estambul.

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El Ayuntamiento de Barcelona impulsa una nueva estrategia TIC dinamizando el uso del móvil para acceder a los servicios de la ciudad

Barcelona se quiere convertir en un nuevo referente en la aplicación de las tecnologías móviles al servicio de los ciudadanos. En este sentido, y aprovechando el reconocimiento como capital del móvil hasta el 2018, el Ayuntamiento quiere impulsar una nueva estrategia TIC para dinamizar la industria del móvil e impulsar el uso de las aplicaciones móviles para acceder a los servicios de la ciudad y relacionarse con la Administración.

El objetivo de esta estrategia 2012-2015 es contribuir al futuro económico y social de la ciudad, posicionando Barcelona como referente mundial en la aplicación de las TIC a la movilidad, a la administración electrónica y en las ciudades inteligentes. Barcelona quiere convertirse en líder en este ámbito contribuyendo así a crear un rico tejido empresarial, alrededor de estas tecnologías, que genere:

  • Puestos de trabajo y riqueza
  • Calidad de vida a los ciudadanos
  • Una nueva forma de gobierno y gestión de la ciudad, más eficiente y sostenible medioambientalmente
  • Prestigio y liderazgo de la ciudad a nivel mundial

En el campo de la movilidad, el Ayuntamiento se ha marcado como prioridades aprovechar que Barcelona es la capital mundial del móvil (MWC) entre 2013 y 2018 como palanca de transformación de la ciudad y como oportunidad de crecimiento de las empresas para convertirse en referente mundial en tecnologías de la movilidad. Y todo ello para mejorar los procesos productivos y para mejorar la calidad de vida de los ciudadanos. Para conseguirlo se ha marcado tres grandes objetivos:

  • Impulsar el uso de las tecnologías móviles para acceder a los servicios de ciudad.
  • Dinamizar la industria del móvil en Barcelona
  • Posicionar Barcelona como referente de la tecnología móvil

Barcelona en el móvil: Aplicaciones y servicios al alcance del ciudadano

Hasta ahora el Ayuntamiento de Barcelona ha desarrollado una larga lista de servicios en el móvil con el objetivo de ofrecer un mejor servicio al ciudadano que tendrá a su disposición: Aplicaciones, Servicios SMS, servicios web, RSS. Estos servicios disponibles para las plataformas iPhone y Android permiten acceder a todo tipo de información y realizar trámites como: solicitar volante residencia, consultar puntos WIFI, u otros que faciliten la relación entre la administración y el ciudadano.

En total, se han registrado 316.328 descargas de aplicaciones móviles hasta principios de junio, de las cuales un 67%, 213.660 han sido para iPhone. Los productos más demandados, también los que llevan más tiempo que están disponibles, han sido los servicios de Bicing, Tráfico y TMB Virtual.

Hasta ahora, ya se han desarrollado veinte aplicaciones, muchas de ellas relacionadas con temas de movilidad, Administración electrónica y cultura, como "Barcelona al móvil", Bicing, "Trànsit", "Prop d´aquí ", TMB Virtual o las nuevas aplicaciones para el Grec 2012 y la verbena de San Juan de este año. Además, los próximos meses estarán disponibles siete nuevas aplicaciones, como el pago de la zona verde y zona azul para los no residentes, el "BCN Joves", la "Guia del Paisatge Urbà" o la "BCN Memòria Històrica".

Según el teniente de alcalde de Hábitat Urbano, Antoni Vives, "lo que interesa es vincular el desarrollo de aplicaciones que tengan relación con nuestra idea de lo que tiene que ser la ciudad".

Vives ha asegurado que esta "comunidad viva" permitirá generar "una nueva economía y una nueva manera de entender el servicio público".

Maratón de programadores

Uno de los ejemplos de la nueva estrategia, aparte de los concursos como el Apps 4 bcn son las maratones como la "BCN Apps Jam: ¡Recicla!", una jornada de ocho horas en la que cuarenta programadores tendrán que desarrollar un prototipo móvil para promover el reciclaje.

Para el director de Administración Electrónica, Sergio Jerez, esta iniciativa incluye dos objetivos fundamentales: por una parte, desarrollar la industria del móvil, y por otra, crear soluciones de servicio público, en este caso del campo del medio ambiente y el reciclaje.

La maratón invita a crear una aplicación para informar y acompañar a los ciudadanos en el buen reciclaje, e incluye dos premios de 5.000 y 3.000 euros, para las mejores ideas.

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Aplicación smartMap Berlin, con mapas e información sobre la ciudad en 3D

Berlin cuenta con contenido 3D disponible para smartphones y tablets. En los inicios, los usuarios de internet podían acceder a los mapas en 3D de la ciudad de Berlín a través del altas económico de Berlín, desde cualquier navegador web estándar. Hoy día, el modelo 3D de la ciudad se ha pasado al móvil.

Con un sencillo gesto, los usuarios podrán navegar a través de la capital de Alemania o introducir una dirección concreta en un campo de búsqueda. El smartMap Berlín, puede descargarse e instalarse desde la Apple App Store. Asimismo, está previsto su desarrollo para las plataformas de Android y Windows para el próximo año 2013.

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Buenos Aires sede del XIII Encuentro Iberoamericano de Ciudades Digitales

Asistieron al evento más de 3 mil personas y 80 expositores disertaron sobre el uso de la tecnología y la información para la digitalización de las ciudades.

Con la presencia de destacados referentes locales e internacionales, se realizó por primera vez en la Ciudad de Buenos Aires la XIII edición del Encuentro Iberoamericano de Ciudades Digitales.

A lo largo de dos jornadas, más de 3 mil personas presenciaron las conferencias donde se expusieron distintas experiencias y visión de futuro acerca del impacto de la tecnología y la información en la transformación de los espacios urbanos. Y a través de Internet, siguieron el evento más de 7 mil espectadores.

Organizado por Asociación Iberoamericana de Centros de Investigación y Empresas de Telecomunicaciones (AHCIET) y los ministerios de Modernización y Desarrollo Económico del Gobierno de la Ciudad, el encuentro tuvo como ejes temáticos la Sociedad de la Información y el Conocimiento, el Gobierno Abierto y las Ciudades Inteligentes.

Con el uso de la tecnología y la información como denominador común para mejorar la calidad de vida de las personas, estos tres ejes contribuyen a generar espacios urbanos más abiertos y participativos, más sensibles y conectados, de cara a una ciudad moderna.

En el marco del evento, se dispuso un espacio para realizar rondas de negocios que contaron con más de 200 encuentros en donde participaron empresas de tecnología, universidades, Gobiernos y fondos de inversión.

Formaron parte de esta iniciativa más de 192 representantes, provenientes de Costa Rica, Croacia, Colombia, Ecuador, Perú, Venezuela, Estados Unidos y la Argentina, que mantuvieron reuniones en las que también estuvieron presentes ejecutivos de diferentes empresas del Distrito Tecnológico de la Ciudad de Buenos Aires y compañías multinacionales como IBM, 3M y Grupo Telefónica.

"Queremos que Buenos Aires se convierta en una ciudad digital. La primera iniciativa con ése fin fue la creación del Distrito Tecnológico, que ya cuenta con más de 120 empresas, y promueve la innovación y el desarrollo TIC . Que Buenos Aires sea la sede de este evento, es otra señal clara, del compromiso que tomamos para convertir a esta Ciudad en la Capital Latinoamericana de la tecnología y a innovación", concluyó Francisco Cabrera, ministro de Desarrollo Económico de la Ciudad de Buenos Aires.

"El avance de las ciudades hacia Ciudades Inteligentes es el reflejo de las necesidades de un futuro que empezamos a vivir aquí y ahora. Por eso, encaramos un Plan de Modernización integral que brinda soluciones a estas necesidades, invitando a los ciudadanos a participar, conectarse y colaborar", comento Andrés Ibarra, ministro de Modernización de la Ciudad de Buenos Aires.

La experiencia de Ciudades Digitales ha sido muy enriquecedora porque evidencia el compromiso que muchas de las ciudades del mundo estamos tomando con nuestros ciudadanos de cara a ese futuro. Un futuro donde la sustentabilidad, la tecnología y la información nos marcan el camino", añadió el funcionario.

Sobre la temática de Sociedad de la Información y el Conocimiento, se compartieron las experiencias de los clústeres tecnológicos de las ciudades de Porto Alegre (Brasil) y Querétaro (México), y las exposiciones de oradores destacados como: Li Li, Vicepresidente del Comité Permanente de la Asamblea Popular Municipal de Guangzhou, China; Gloria Benítez, Edila de la Junta Departamental de Montevideo; Gerry Garlbusky, Organizador de TEDxRíodelaPlata, y el propio Cabrera.

Además, se expusieron experiencias de Gobierno Abierto a cargo de referentes internacionales entre los que se destacaron Andrew Hoppin, ex CIO del Senado del Estado de New York; Abhi Nemani, Director de estrategia y comunicaciones de Codefor América y director de desarrollos de CivicCommons; y Micah Sifry, co-Fundador de la conferencia internacional Personal Democracy Forum.

Para desarrollar los contenidos referidos a Ciudades Inteligentes disertaron Guruduth Banavar, líder en tecnología e innovación de IBM que desarrolla estrategias para soluciones del sector público; César Cernuda, VP de Microsoft para América Latina; Boyd Cohen, creador del ranking de ciudades inteligentes más utilizado en el mundo; y Andrés Ibarra, Ministro de Modernización de la Ciudad de Buenos Aires, entre otros.

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Un 47% de la población española ha tenido algún contacto con la Administración Electrónica en los tres últimos meses.

El 44,7% de la población española ha interactuado con las Administraciones Públicas a través de Internet (5,6 puntos más que el año anterior), según una Encuesta sobre Equipamiento y Uso de Tecnologías de Información y Comunicación (TIC) en los Hogares realizada por el Instituto Nacional de Estadística (INE).

El 59,4% de usuarios de Internet en el último año declara haber obtenido información de las páginas web de la Administración, el 41,0% afirma haber descargado formularios oficiales y el 32,2% ha enviado formularios cumplimentados.

Barreras digitales

De los 12,4 millones de usuarios de Internet de los últimos 12 meses que tuvieron necesidad de presentar formularios ante las administraciones públicas, el 35,7% no utilizaron Internet para tal propósito.

Las principales razones aducidas por este colectivo fueron: no tiene firma o certificado electrónico (25,1%), porque lo tramitó por Internet otra persona en su nombre - un gestor, un asesor fiscal, un familiar o un conocido- (24,3%) y por falta de habilidades o conocimientos (21,1%).

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El Presidente de CGLU expone las experiencias de las ciudades en el Panel de Alto Nivel de las Naciones Unidas

La primera reunión del Panel de Altas Personalidades sobre el programa de desarrollo de Post-2015 tuvo lugar en Nueva York del 24 al 25 de septiembre. El Subsecretario General Eliasson, dio la bienvenida al alcalde de Estambul a la reunión preparatoria para los miembros del panel diciendo que "las ciudades representan más del 60% de la población mundial y -por esa razón- te necesitamos aquí".

Los miembros del grupo acordaron que el proceso de Post-2015 tendría que integrarse con otros procesos que actualmente tienen lugar en la agenda internacional, como el seguimiento de Río + 20 y Hábitat III.

Se hizo hincapié en la independencia del grupo y la necesidad de garantizar que las voces de los diferentes actores se incluyeran en el informe del Panel.

El Presidente de CGLU y alcalde de Estambul expresó su compromiso para asegurar que las diversas voces de autoridades locales y regionales contribuyesen al Panel mediante sus aportaciones y se ofreció para facilitar una reunión de los miembros del Panel con las autoridades locales y regionales.

Se acordó además que era necesario identificar los catalizadores para alcanzar las metas de Post-2015. Encontrar las áreas que tienen mayor efecto multiplicador, como el acceso a agua e igualdad de género.

El Presidente de CGLU llamó la atención sobre el proceso Post 2015 para centrarse en la potenciación de las distintas partes interesadas y en particular a las autoridades locales y regionales. "Las crecientes desigualdades son telón de Aquiles de los Objetivos de Desarrollo del Milenio. Muchas de estas desigualdades no pueden abordarse sin una prestación de servicios adecuada a los habitantes de las ciudades del mundo".

Fuente: CGLU

Jean-Michel Severino hizo hincapié en la necesidad de disminuir los conflictos y dirigir los temas de gobernabilidad del programa de Post 2015 hacia el objetivo de asegurar el desarrollo y crecimiento.

Tawakel Karman periodista de Yemen y ganadora de premio Nobel de la paz, pidió que la financiación de los objetivos fuera debidamente incluida en el informe del Panel.

Amina Mohamed, asesora especial del Secretario General para la Planificación de Desarrollo de Post-2015 destacó los importantes logros de los ODM y expresó la esperanza de que el nuevo programa sea universal y se construya en base a las responsabilidades compartidas -pero diferenciadas- de los diferentes actores.


Europa lanza una Asociación de Innovación para Ciudades y Comunidades Inteligentes

En 2013 se invertirán 365 millones de euros en tecnologías innovadoras eficientes.

Uno de los mayores desafíos a los que se enfrenta hoy en día la UE, según la Comisión Europea, es la mejor forma de diseñar y adaptar las ciudades para convertirlas en entornos inteligentes y sostenibles. Especialmente si tenemos en cuenta que casi tres cuartas partes de los europeos vive en ciudades, consumiendo el 70% de la energía de la unión.

Actualmente son muchos los obstáculos que limitan el potencial de las tecnologías innovadoras inteligentes como, por ejemplo, barreras para la adopción de tecnologías eficientes o la incertidumbre sobre los retornos de la inversión. Además, en tiempos económicos difíciles, las empresas y las ciudades son reacias a este tipo de tecnologías a pesar del posible ahorro económico y la reducción de emisiones a largo plazo que pueden acarrear.

Por todo ello la Comisión de Europa ha puesto en marcha la Asociación Europea de Innovación para Ciudades y Comunidades Inteligentes (Smart Cities and Communities) con la que quiere impulsar el desarrollo de las tecnologías inteligentes en las urbes. El objetivo es, en palabras de sus responsables "agrupar los recursos de investigación de los ámbitos de la energía, el transporte y las tecnologías de la información y de la comunicación (TIC) y concentrarlos en un grupo reducido de proyectos de demostración que se ejecutarán en colaboración con las ciudades". Para 2013 se han asignado 365 millones de euros para la demostración de este tipo de soluciones tecnológicas urbanas.

En el futuro, la financiación de la UE se concentrará en un número limitado de proyectos de demostración con un alto impacto, con consorcios industriales de alto nivel (formados por industrias intensivas de I + D de los tres sectores), junto con una o dos ciudades para demostrar el valor añadido, de manera que otras ciudades puedan seguir su ejemplo para aplicar las mismas tecnologías.

Información sobre la convocatoria