Nomination de Josep Roig comme Secrétaire Général de CGLU

Le Bureau Exécutif de CGLU, qui s´est réuni à Rabat, a nommé Josep Roig au poste de Secrétaire Général de CGLU, finalisant ainsi le processus de sélection international qui avait été lancé.

Josep Roig, Secrétaire Général de Metropolis depuis 2000, est impliqué dans la Section métropolitaine de CGLU en tant que membre actif et fondateur depuis 1985. Economiste de formation, il a travaillé pour la région métropolitaine de Barcelone à différents postes et a également été Directeur exécutif de l´Université de Barcelone de 1990 à 1994.

Pendant le discours qu´il a prononcé devant 216 dirigeants de collectivités locales de 40 pays à l´occasion de sa nomination, M. Roig a exprimé sa gratitude de se voir confier cette tâche ambitieuse et a souligné le besoin de renforcer le rôle de CGLU en tant que réseau des réseaux travaillant sur le plaidoyer et l´innovation.

Josep Roig prendra ses nouvelles responsabilités au mois de septembre. D´ici là, M. Clarence Anthony poursuivra son travail en tant que Directeur par intérim de CGLU.

Source: www.cities-localgovernments.org


214 dirigeants locaux et régionaux de 40 pays se réunissent à Rabat

Le 12e Bureau Exécutif de CGLU, accueilli par la Ville de Rabat (Maroc), a été officiellement ouvert par Fathallah Oualalou, Maire de Rabat. Comptant sur la présence de plus de 300 participants et incluant plus de 200 dirigeants locaux et régionaux de tous les continents, le Bureau Exécutif se tient du 22 au 24 juin dans la capitale du Maroc. Il s´agit de la première réunion statutaire du Bureau après le renouvellement des Organes Statutaires de l´Organisation lors du Congrès Mondial de Mexico en novembre 2010.

L´un des principaux résultats du Bureau est la nomination de Josep Roig, Secrétaire Général de Métropolis, au poste de Secrétaire Général de CGLU. Le Président de CGLU, Kadir Topbas, a exprimé la confiance que porte l´Organisation Mondiale à M. Roig et à sa capacité de mener à bien les travaux de CGLU. Le Secrétaire Général de CGLU nouvellement nommé a exprimé son honneur d´être choisi pour ce poste et a affirmé son intérêt à travailler avec tous les membres et régions afin de rendre l´Organisation Mondiale encore plus forte.

Le Bureau Exécutif était présidé par Kadir Topbas, Maire d´Istanbul (Turquie) et Président de CGLU,  par le Co-président Antonio Costa, Maire de Lisbonne (Portugal) et par Fathallah Oualalou, Maire de Rabat (Maroc).

Le jeudi 23, la session d´ouverture était dédiée au thème de l´innovation pour les gouvernements locaux et régionaux. Cette session a inclus des présentations de Wan Qingliang, Co-présdent de CGLU et maire de Canton (Chine), d´Anne-Marie Jorritsma, maire d´Almere (Pays-Bas) et Présidente de l´Association des Municipalités Néerlandaises, et d´invités spéciaux de la Banque Mondiale, de Cities Alliance ainsi que de représentants des gouvernements nationaux et des institutions financières.

Dans son discours d´ouverture, le Président de CGLU, Kadir Topbas, Maire d´Istanbul, a résumé l´action de la Présidence de CGLU depuis le Congrès Mondial à Mexico en trois piliers : diriger l´Organisation ; accroître les adhésions et être le porte-parole des gouvernements locaux sur la scène internationale. Le Président Topbas a fait part du besoin de promouvoir des gouvernements locaux démocratiques forts, au service des citoyens dans le monde entier. Il a souligné les évolutions positives des relations entre les Nations Unies et CGLU et a rappelé que Ban Ki Moon avait récemment défini CGLU comme un «  allié mondial » des Nations Unies lors de la Conférence des Maires des Etats-Unis. Il a par ailleurs mis en lumière le travail important effectué par CGLU dans la mise à jour de l´agenda sur la durabilité, la définition de la culture en tant que 4e pilier du développement durable, le renouvellement de l´agenda sur l´efficacité de l´aide et la question cruciale de la santé et de l´accès aux services de base.

Le Bureau Exécutif est convenu de créer une Commission Permanente sur l´Egalité des Genres, afin de favoriser la participation des femmes aux processus de prise de décision locale et de renforcer le rôle des femmes élues dans tous les travaux de CGLU.

Le séminaire régional sur le financement des infrastructures en Afrique a rassemblé 80 dirigeants locaux de la plupart des régions d´Afrique et a formulé des recommandations sur l´infrastructure urbaine en Afrique.

Les membres ont par ailleurs donné leur accord sur le choix du thème du 3e Rapport Mondial sur la Démocratie Locale et la Décentralisation (GOLD III), qui se centrera donc sur la gouvernance des services publics de base.  Le Bureau Exécutif a enfin consacré une journée entière à la redéfinition des priorités stratégiques de CGLU, après ses six premières années d´existence.

Les dirigeants de CGLU ont enfin lancé un appel à la solidarité et ont dénoncé la situation des populations civiles victimes de destructions et d´oppression de la part de leur gouvernement, en particulier à l´heure actuelle dans les pays du bassin méditerranéen et au Moyen-Orient.

Cités et Gouvernements Locaux Unis (CGLU) est la plus grande organisation de gouvernements locaux et régionaux dans le monde. CGLU représente et défend les intérêts des gouvernements locaux sur la scène mondiale, quelle que soit la taille des collectivités qu´elle appuie. L´organisation s´est fixé la mission d´être la voix unifiée et le défenseur de l´autonomie locale démocratique, de promouvoir ses valeurs, ses objectifs et ses intérêts, au travers de la coopération entre les gouvernements locaux, comme au sein de la communauté internationale.


Bilbao est finaliste pour la « World Design Capital 2014 »

Bilbao est choisi comme finaliste avec Cape Town (Afrique du Sud) et Dublin (Irlande) devenir la « World Design Capital 2014 » (WDC 2014). 56 villes de 24 pays ont exprimé leur intérêt à être la « World Design Capital 2014 » et Bilbao est resté finaliste avec les autres deux villes. La Ville pourra se transformer en référence de la conception internationale.

Au mois d´octobre à Taïpeh (Taiwan) dans le Congrès 2011 de l´AIF le Conseil International des Sociétés de Conception Industrielle (ICSID) annoncera la ville gagnante. Ce congrès aura lieu entre les 24 et 26 octobre.

La désignation comme « World Design Capital », qui jusqu´à présent a retombé les villes de Turin (2008), Séoul (2010) et Helsinki (2012), il suppose la reconnaissance internationale des villes qui utilisent la conception d´une manière effective et efficace pour promouvoir la revitalisation et l´amélioration de la qualité de vie de la citoyenneté

Après la présélection des trois villes finalistes, dans les prochains mois ils seront visités par le Comité Organisateur du « World Design Capital » (WDC) et on complétera la sélection des villes finalistes, une dont sera nommé Capital Mondial de la Conception, dans les actes programmés à l´occasion de l´exposé International de la Conception qui aura lieu à Taiwan à la fin du mois d´octobre.

La devise de Bilbao : La Conception de Villes proposée pour « Bilbao World Design Capital 2014 »; il suppose la continuation de l´effort en pour préparer Bilbao pour les défis du futur. Bilbao est un point de référence la conception et de la transformation urbaine. La transformation urbaine incroyable que Bilbao a éprouvée durant les dernières 25 années, suppose un contexte approprié pour faire valoir la « World Design Capital 2014 (WDC2014) » et un moment clef pour une nouvelle transformation guidée par la conception qui porte à la ville vers une économie créative basée la connaissance.

Source : www.bilbaointernational.com


UN declares Internet access a human right

As evidenced by the Facebook Revolutions and ensuing Middle East turmoil, the Internet is a powerful tool and one capable of change. Of course, its eliminating citizen use of the Web under oppressive regimes has also yielded consequences. Perhaps inspired by these effects, the UN has declared the Internet a human right. A recent report titled "Report of the Special Rapporteur on the promotion and protection of the right to freedom of opinion and expression" declares that Internet access falls under freedom of expression.

"The unique and transformative nature of the Internet not only [enables] individuals to exercise their right to freedom of opinion and expression, but also a range of other human rights, and to promote the progress of society as a whole." Special rapporteur Frank La Rue also acknowledges that the Web has become too important a tool to asserting other human rights for people to be denied its use. "Given that the Internet has become an indispensable tool for realizing a range of human rights, combating inequality, and accelerating development and human progress, ensuring universal access to the Internet should be a priority for all states."

While the report may have especially poignant significance for Middle Eastern nations, it applies internationally. "Each state should thus develop a concrete and effective policy to make the Internet widely available, accessible, and affordable to all segments of population." The US National Telecommunications and Information Association (NCIA) are collaborating with the FCC to analyze the state of broadband availability in the country. Recent findings revealed that a five to 10 percent of American cannot access Internet speeds that allow basic Web functions. So if you think this is merely a third-world problem or issue with oppressive governments, you´d be wrong.

Of course, these events are why such a policy has become relevant: "The recent wave of demonstrations in countries across the Middle East and North African region has shown thekey role that the Internet can play in mobilizing the population to call for justice, equality,accountability and better respect for human rights. As such, facilitating access to theInternet for all individuals, with as little restriction to online content as possible, should be apriority for all States."

But is anything going to come out of this report? Last year, a BBC World Service study found that four out of five adults thought Internet access was a fundamental right, and participants from China, Mexico, Nigeria, Brazil, and South Korea were just among some of the countries that majorly agreed with this. Which means that despite these largely held beliefs, opponents are still denying people this alleged right.

 www.telecomcomments.com


La Commission lance le Smart Cities Index

En 2005 pendant le Sommet Mondial des Villes et Autorités Locales sur la Société de l´Information tenu à Bilbao, les Autorités Locales présentes se sont engagées à travailler pour la réalisation du plein accès à la Société de l´Information dans leurs villes et régions à travers l´implémentation d´Agendas Numériques Locales, une stratégie locale pour le développement de la Société de l´Information dans une région. Pour cette raison, sa conception et développement sera semblable à tout Plan Stratégique Sectoriel, coordonné et intégré avec le Plan Stratégique Local d´une ville ou d´une région.

Maintenant, après plus de 5 années, arrive le moment de faire un bilan. Depuis la Commission de Villes Numériques et de la Connaissance de CGLU nous voulons promouvoir la réalisation de c´étudie, pour connaître le degré de progrès des membres de CGLU en ce qui concerne les TIC, l´Innovation et la connaissance et de cette manière pouvoir établir des indicateurs de suivi qui nous permettent de savoir si nous travaillons dans la ligne adéquate pour obtenir des villes plus compétitives.

Nous encourageons aux membres de la Commission et de CGLU à contribuer à l´étude, en remplissant le suivant formulaire en ligne de récolte d´information avant le 15 juillet 2011.

Si vous avez des problèmes avec l´accès à la version enligne, vous pouvez le déchargeur dans le lien suivant :

Décharger Formulaire de récolte de données

Décharger Bonne Pratique

En ayant des problèmes pour accéder au formulaire ou quelque question, n´hésite pas de contacter le Secrétariat de la Commission dans l´E-mail bilbaonext.promocion@ayto.bilbao.net  ou dans le téléphone : +34 94 423 5049


Renouvellement des Vice-présidentes de la Commission

Comme on a informé pendant la réunion de la Commission tenue dans la Ville du Mexique le 17 novembre 2010, pendant le premier trimestre de 2011 depuis la Présidence de la Commission on a développé un processus de rénovation des Vice-présidentes de la Commission.

Dans le cas des Vice-présidentes de la Commission par l´Euro-Asie, l´Amérique latine et l´Afrique portées par la Ville d´Ulán Bator, la Confédération Nationale des Communes du Brésil (CNM) et l´Association des Communes du Maroc (ANCLM) respectivement, nous sommes contentes de vous informer qu´ils ont confirmé la rénovation de son compromis de continuer à leader et coordonner le travail de la commission dans sa région.

Dans le cas de la Vice-présidence par l´Europe, portée par la Ville de Stuttgart, ils nous ont communiqué que malheureusement c´est pas possible pour lui de continuer à porter le poste de Vice-président de la Commission de Villes Numériques et de la Connaissance par la région de l´Europe.

Dans le but de continuer à maintenir un bilan géographique dans les organes de Gouvernement de la Commission, la Ville de Bordeaux en France a accepté le compromis de porter la Vice-présidence de la Commission par la région de l´Europe. La Ville de Bordeaux compte avec une vaste expérience dans le développement de la Société de l´Information dans son territoire.

A travers « Bordeaux cité digitale » programme lancé en 2010, la Ville propose de nombreuses initiatives numériques : services accessibles par Internet mobile, tableaux interactifs dans les écoles, nouveaux sites pour les musées comme le CAPC, conçus sur logiciel libre, codes 2D dans la ville apportant des compléments d´information aux citoyens, expérimentation sur 100 familles d´une mise à disposition d´un ordinateur connecté à haut débit et d´une offre de formation, lancement d´une vaste plateforme de consultation, usage des réseaux sociaux pour plus de proximité dans le cadre du projet "voisins solidaires", développement des points d´accès publics à Internet... un bouquet de services innovants, pour une vie meilleure dans la cité digitale.

Depuis la présidence de la Commission nous remercions le Compromis des Vice-présidents et nous sommes sûrs qu´ensemble et avec l´appui de tous les membres de la Commission, nous pourrons continuer à travailler pour atteindre des villes et des communes qui par l´utilisation des Nouvelles technologies, l´innovation et la gestion de la connaissance, améliorent la qualité de vie de la citoyenneté et soient plus compétitives.


Networked Society City Index: Ciudades grandes con madurez-beneficio de las TICs

Durante el reciente  Ericsson Business Innovation Summit 2011 en Silicon Valley se dio a conocer el Networked Society City Index [PDF], un estudio realizado junto con la consultoría Arthur D. Little para destacar 25 ciudades - grandes - con un alto nivel de madurez y desarrollo de las TIC. Esto apunta a ciudades capaces de gestionar aspectos relacionados con el medio ambiente, la infraestructura, seguridad pública, calidad en atención de salud y educación.

"La construcción de una sociedad conectada es uno de los grandes desafíos de nuestro tiempo para la humanidad. Aunque este análisis debe ser visto como un humilde punto de partida para explorar la relación entre las inversiones en TIC y el desarrollo sostenible, nuestra esperanza es que este informe sirva de inspiración para las ciudades que no se conforman con el statu quo", dijo Erik Almqvist, director de Arthur D. Little.

Entre las principales ciudades del índice se encuentra: Singapur, Estocolmo, Seúl, Londres, París, Nueva York, Tokio, Los Ángeles, Shangai y Beijing.

Singapur, por ejemplo, ha impulsado la innovación en e-salud, y es pionera en la gestión de la congestión de tráfico. Estocolmo considera las TIC como un habilitador importante para la investigación colaborativa y la transferencia de conocimientos; mientras que Seúl usa las TIC para iniciativas verdes de alta tecnología.

Actualmente más del 50 por ciento de la población del mundo vive en áreas urbanas, pero para el año 2030 se espera que el porcentaje crezca a un 60%. Más de 20 ciudades en el mundo se clasifican como megaciudades, es decir, ciudades con más de 10 millones de habitantes. Tokio, Bombay y Ciudad de México son ejemplos claros. En 2020, el mundo tendrá por lo menos ocho grandes ciudades más, con la mitad de todas ellas situadas en países en desarrollo.

Ciudades situadas en el norte de Europa, América del Norte y parte de Asia oriental tienen una gran trayectoria en inversión de las TIC, por consiguiente tienen  una mayor madurez que se refleja en el índice.

La Ciudad de México se coloca en el lugar 16 del ranking de ciudades interconectadas, mientras que otras metrópolis latinoamericanas como Buenos Aires y São Paulo aventajan a la capital mexicana, destacando en los sitios 13 y 14 respectivamente.

Nota: La lista de ciudades conectadas usada por Networked Society City Index esta basado en la lista de Naciones Unidas de ciudades más grandes, con la adición de las capitales de las dos naciones líderes en el Networked Readiness Index 2011 (que mide los países que aprovechan las oportunidades que ofrecen las TICs) publicado por el Foro Económico Mundial.


La cumbre de Bilbao concluye que los retos de la web no son técnicos

Los grandes retos para el porvenir de la web no son técnicos. Esa es la principal conclusión que ha arrojado la cumbre Bilbao Web Summit, que ayer cerró sus puertas con la entrega del premio Dama al inventor de la web, Tim Berners-Lee. "La política pública, la regulación, los modelos de negocio, los intereses privados e incluso la inercia cultural son los obstáculos más importantes para el desarrollo de Internet, más incluso que cualquier protocolo técnico", reza el comunicado conjunto difundido por los expertos reunidos en la cita.

"El cambio y el compromiso tienen que llegar por parte de los usuarios, pero también de las empresas y los Gobiernos si queremos hacer realidad el sueño de la Internet del futuro", añade.

Igualmente, señala que la web "supone una enorme oportunidad para los emprendedores para crear nuevas empresas y que las ya existentes generen nuevos valores. Para los usuarios representa la ocasión de establecer relaciones nuevas y más fuertes", apunta. En cualquier caso, la la mujer más influyente de Silicon Valley, Chris Shipley, cofundadora de Guidewire Group, recordó que "las personas son más importantes que las tecnologías".

La mesa redonda sobre la relación entre los Gobiernos e Internet se convirtió en un alegato de todos los participantes en defensa de las ventajas de compartir información gubernamental con los usuarios de la red. Jeanne Holm, arquitecta de la NASA y responsable de la aplicación Data.gov, señaló que esta herramienta es capaz de "impulsar la economía" y que lo importante no es colgar los datos sin más, si no "hacerlos comprensibles".

"Las administraciones públicas pueden encontrar en Internet los perfectos aliados que hagan realidad la utopía de cercanía, transparencia y participación", resaltó la portavoz del Gobierno vasco, Idoia Mendia.

Fuente: El País


Tim Berners-Lee el padre de la Web, en la Bilbao Web Summit

"Ahora, cuando el 20% de la población mundial se conecta a internet y sus vidas funcionan más eficientemente gracias a la red, te preguntas qué pasa con el 80% restante. Por eso desde el Consorcio W3C decidimos crear una fundación que analiza cómo debe ser la web para que atienda y dé servicio a toda la humanidad", explicó ayer en Bilbao sir Tim Berners-Lee, el creador del lenguaje que ha hecho posible internet tal y como lo conocemos hoy. Berners-Lee, que ofreció una conferencia abierta al término de la primera jornada de Bilbao Web Summit, animó a los asistentes y a las instituciones a volcar datos e información, porque eso "enriquece la web" y dijo que debemos pensar "en qué podemos hacer para que la gente se incorpore a la sociedad de la información".

Berners-Lee, que fue presentado por Xabier Uribe-Etxebarria, fundador y director ejecutivo de Anboto, explicó a un numeroso público que antes de la era de la información las grandes diferencias entre la población mundial estaban en el acceso al agua potable o la sanidad, pero ahora, con el desarrollo tecnológico, la diferencia entre pertenecer al 20% de la población que está conectado o al 80% que no lo está "es enorme". El creador del lenguaje HTML y del protocolo HTTP afirmó que "internet ha hecho que la separación entre ambos grupos sea aún mayor, pero también es cierto que reducir la brecha del desarrollo es más fácil si tienes conectividad", porque en internet puedes encontrar soluciones e información que pueden ayudar a establecer redes de saneamiento o atención sanitaria, también te permite exponer los problemas y recaudar fondos. De ahí que el Consorcio W3C, que reúne a las principales empresas y entidades de internet, y que estos días celebra en Bilbao una de sus dos sesiones anuales, trabaje no solo en cuestiones técnicas, sino también en la universalidad y la accesibilidad de la red. "Estudiamos -dijo Tim Berners-Lee- qué clase de web tenemos, cómo queremos que sea y también cómo utilizarla para hacer que el mundo sea un sitio mejor".

un cielo de leds La intervención de sir Tim Berners-Lee en el auditorium del Palacio Euskalduna fue seguida con mucha atención por los cientos de asistentes a la cumbre de la web, por empresarios y directivos, muchos estudiantes y personas sin vinculación directa con los negocios de internet pero que, sin duda, pertenecen a ese 20% de la población al que la red ofrece servicios, ayuda e información. Una muestra evidente de que era un público conectado llegó al final del acto cuando Xabier Uribe-Etxebarria pidió a todos que encendieran las pantallas de sus móviles y dispositivos para crear un cielo de estrellas leds.

En su exposición, Berners-Lee explicó el trabajo que desarrolló hace veinte años para lograr la interconexión de ordenadores y archivos y apuntó que hace dos años comprobó que la web "funciona bien", pero que hacía falta tener acceso a más datos, así que empezó a animar a la gente para que introdujera información y creó un sistema de estrellas para premiar esas contribuciones de información a la red. El presidente de W3C señaló también que internet "es una potente herramienta de colaboración" y que "una masa de humanidad interconectada será mucho más fuerte y tendrá más posibilidades de resolver problemas demasiado grandes, como el sida o el cambio climático".

En la jornada de ayer de Bilbao Web Summit, se debatió sobre eBanking, eHealth, eLaw y eEducation. Por la mañana, en la presentación oficial de la cumbre participaron, además de Tim Berners-Lee, Chris Shipley, Xabier Uribe-Etxebarria y Jeffrey Jaffe, en representación de los organizadores, el alcalde de Bilbao, Iñaki Azkuna, el secretario general de Innovación del Ministerio de Ciencia, Juan Tomás Hernani, y el viceconsejero de Innovación y Tecnología del Gobierno vasco, Juan Goicolea. Por el lado institucional, Iñaki Azkuna quiso destacar que en la jornada que celebraba el Día de Internet, quien está considerado como el padre de la web "no está en Nueva York, ni en París ni en Tokio, está en Bilbao". Juan Tomás Hernani afirmó que "internet no es un canal sino un gran espacio de la economía" y consideró necesario "entender los procesos de negocio dentro de la red".


BILBAO ACOGE LA CUMBRE MÁS IMPORTANTE DE EUROPA SOBRE INTERNET Y NUEVAS TECNOLOGÍAS

Bilbao, 9 de mayo de 2011.- Los mayores expertos mundiales en el campo de Internet se reúnen en apenas unos días en Bilbao para debatir sobre el futuro de la Red. La cita, bautizada con el nombre de Bilbao Web Summit, tendrá lugar los próximos 17 y 18 de mayo en el Palacio Euskalduna. Todavía quedan plazas libre para inscribirse en esta cumbre, considerada como la más importante de toda Europa sobre Internet y nuevas tecnologías. De esta forma, las personas interesadas pueden inscribirse a través de www.bilbaowebsummit.com.

Este encuentro reunirá a los mayores expertos mundiales en esta temática, entre ellos Sir Tim Berners-Lee, considerado padre de la Web y creador del lenguaje HTML y del protocolo HTTP, y Chris Shipley, reconocida como la mujer más influyente de Silicon Valley. Junto a ellos, los principales expertos en Internet, empresarios y profesionales de distintos sectores de negocio analizarán el presente de la Red y definirán las grandes líneas de actuación que permitirán diseñar la próxima generación de Internet.

Junto a estos ponentes, la cinta contará con Jean M. Holm (Arquitecta de Conocimiento de la NASA), Xabier Uribe-Etxebarria (fundador y consejero delegado de Anboto Group y promotor del evento), Brian Wong (de Digg), Peter Redshaw (Vicepresidente de Gartner); Idoia Maguregui (CIO de Bankinter) o Álex Cruz (Consejero Delegado de Vueling).

Sentar las bases para el futuro de la web

Además, entre el 16 y el 19 de mayo, la Comisión Consultiva del W3C (World Wide Web Consortium) celebrará distintas reuniones en Bilbao para sentar las bases de la Red para los próximos años. Los criterios que se fijen en Bilbao afectarán a los futuros servicios de banca on-line, administración electrónica, telemedicina, educación digital, medios digitales y comercio por Internet.

Bilbao Web Summit es una iniciativa impulsada por Xabier Uribe-Etxebarria, fundador de la empresa vasca Anboto, reconocida este mismo año como mejor nueva compañía tecnológica del mundo, y de W3C, entidad que regula los estándares web a nivel mundial. El evento cuenta ya con el apoyo del Ayuntamiento de Bilbao, el Gobierno Vasco además de con el patrocinio de entidades tales como Biscaytik, BBVA, Euskaltel y Gartner.

Una de las principales novedades de la Bilbao Web Summit será la publicación de las conclusiones acordadas por los participantes en esta cumbre mundial. Este documento, pionero y único en su género, servirá como hoja de ruta para anticipar las tendencias de desarrollo de Internet como ámbito de toma de decisiones a distintos niveles: banca on-line, administración electrónica, telemedicina, educación digital, medios digitales y comercio por Internet.

La elección de Bilbao para esta cumbre mundial sobre el futuro de Internet está estrechamente vinculada al nivel de desarrollo alcanzado por Euskadi y la Villa y su área de influencia en materia de Internet y uso de las TIC y, de forma muy particular en el ámbito de las aplicaciones lingüísticas y semánticas, gracias en gran medida a las necesidades surgidas por el carácter bilingüe de la sociedad vasca.

www.bilbaowebsummit.com