Nouvelles technologies : l´Inde nouveau modèle de la Ville et de la Région ?

Depuis ce lundi et jusqu´à mercredi, de nombreux acteurs du monde numérique débattent des nouvelles technologies et de leur impact sur notre quotidien, à l´occasion d´une série de conférence au théâtre national de la Criée, à Marseille. Au programme notamment, la présentation d´innovations comme la possibilité de payer avec son téléphone portable, le développement d´imprimantes en 3D ou encore la miniaturisation d´appareils électroniques.

Cette rencontre entre chercheurs et professionnels du monde numérique, intitulée "Lift with Fing" du nom des deux structures organisatrices, a ouvert ce matin, en partenariat avec la Ville de Marseille et le Conseil régional, et en présence de Daniel Kaplan, délégué général de la Fondation pour l´internet nouvelle génération (Fing). Les deux institutions en ont profité pour rappeler leur projet de "construire des services numériques urbains" et d´accroître "l´accessibilité aux réseaux fixes et mobiles haut-débit avec la fibre optique et la 4G" dans les années à venir.

L´Inde comme modèle

Présent à cette conférence, Sam Pitroda, conseiller du premier ministre indien sur les infrastructures d´information et les innovations, a partagé son expérience. Son pays, qui connaît une croissance économique et numérique galopante, a, selon lui, su "basculer dans une nouvelle ère en s´appuyant notamment sur une population jeune."

Christophe Castaner, vice-président de la Région, souhaiterait appliquer ces méthodes en Paca : "L´Inde a fait d´internet un outil de développement économique mais surtout d´émancipation politique et sociale en réduisant le poids de la tradition et de l´usage. L´idéal serait que nous entrions dans cette nouvelle approche : passer d´une innovation hi-tech à une innovation sociétale."

Source: La provence.com


La ciudad digital de hoy: tecnología, políticas y recursos al servicio de la ciudadanía

Un nuevo ecosistema de aplicaciones y recursos tecnológicos orientados a brindar seguridad y salud al ciudadano, y a mejorar la administración pública.

Gustavo Aguirre, gerente de canales del negocio de banda ancha inalámbrica de Motorola, ofreció su visión sobre el futuro de los centros urbanos y su digitalización durante el panel sobre ciudades digitales realizado en el marco del evento Megaciudades 2010, celebrado en Buenos Aires el 30 de junio. El ejecutivo de Motorola destacó la evolución del concepto de ciudad digital, y de la importancia de contar con políticas definidas y el apoyo de instituciones y el Estado, para el desarrollo de un plan sustentable de digitalización. Además, destacó la importancia de pensar la ciudad digital como un ecosistema integrado de servicios, orientados a la ciudadanía.

"En los últimos años, hemos visto que el concepto de ciudad digital ha ido cambiando, evolucionando. Ya no se trata de aplicaciones puntuales, como solamente acceso a Internet, sino más bien un ecosistema de aplicaciones tecnológicas orientado al ciudadano, a la seguridad, a la salud y a la administración pública. Pero también es importante tener las políticas y saber la dirección hacia la cual la ciudad o municipio quiere avanzar. Sin estos dos aspectos, a los proyectos les cuesta progresar", explicó Aguirre.

En el presente, el concepto de ciudad digital se apoya en tres pilares principales: conectividad sin límites, acceso a la información en tiempo real, y volcar estos dos aspectos en las manos del ciudadano. "Nosotros, en Motorola, debemos dar el soporte para que esto sea una realidad, ya que contamos con un muy completo portafolio de soluciones que puede satisfacer estas necesidades de punta a punta", expresó.

Por su parte, Federico Calle, responsable del área de tecnología de Sigma IT Solutions, contó la experiencia del municipio de Campana (Buenos Aires) y su transformación en ciudad digital con el uso de tecnología Motorola. De acuerdo con Calle: "las necesidades básicas de una ciudad antes tenían que ver con los servicios públicos, limpieza, alumbrado, transporte, etcétera. Sin embargo, hoy en día hay otras necesidades que cada vez toman más importancia, como la comunicación, el acceso a Internet para los ciudadanos y la reducción de la brecha digital. El Estado y los municipios pueden llevar adelante esta iniciativa".

Por la tarde, durante el panel destinado a la seguridad en las ciudades, Alberto Iglesias Paiz, gerente senior de cuentas del negocio de soluciones de movilidad empresaria de Motorola, habló de la importancia de la tecnología para la seguridad pública.

"Es necesario contar con una tecnología intuitiva, que les permita a las fuerzas de seguridad pública manejarse ante situaciones críticas, como pueden ser un robo, un accidente o un incendio. La tecnología ayuda a las ciudades y comunidades a crear lugares mucho más seguros", aseguró Paiz. "El objetivo primordial de la seguridad pública es salvar vidas, y es por ello que la tecnología, la comunicación y la coordinación son aspectos claves para llevar a cabo dicha acción".

Fuente: ebizlatam.com


La large bande est déjà un droit universel en Finlande

La Finlande s´est transformée dans le premier pays où la large bande est considérée comme un « droit universel » de tous les citoyens, après l´entrée en vigueur d´une nouvelle loi. En plus d´accomplir l´annonce fait  par le Gouvernement, tous les finlandais disposeront d´une connexion de 100 Mbps en 2015.

« Nous avons considéré le rôle qui a l´Internet dans la vie quotidienne des citoyennes. Les services d´Internet ne sont pas utilisés seulement pour distraction » a indiqué la Ministre de Communication de la Finlande, Suvi Soient, dans des déclarations fait à la chaîne britannique BBC.

La nouvelle réglementation oblige à toutes les entreprises de télécommunications à fournir depuis le 1 juillet 2010, une connexion minimale de 1 Mbps aux utilisateurs. " La Finlande a travaillé pour développer une société de l´information, mais il y a quelques années nous avons rendue compte que pas tout le monde avait d´accès" a ajouté Linden.

Les efforts du gouvernement finlandais ont donné des résultats, et actuellement 96 pour cent de ses citoyens ont de connexion au Réseau. Dans l´Espagne, d´accord avec des données de décembre 2009 d´Eurostat seulement 51 pour cent des maisons disposent de connexion à l´Internet.

Des pays comme le Royaume-Uni ou la France préparent des législations pour couper l´accès à ces personnes qui utilisent le Réseau pour la décharge d´archives avec des contenus pirate. « Nous avons adopté une politique dans laquelle les opérateurs envoient des lettres d´avertissement aux utilisateurs qui partagent des archives illégales mais ne projetons pas de couper l´accès » a déclaré Linden.

Source : Europa press


Bilbao a reçu le premier Lee Kuan Yew World City Prize à Singapour

La remise du prix est part des actes organisées à l´occasion du Sommet Mondial des Villes 2010 (WCS) qui a lieu jusqu´à prochain jeudi à Singapour.

Le Maire de Bilbao, M. Iñaki Azkuna, a reçu au nom de la Ville le Lee Kuan Yew World City Prize, considéré « le prix Nobel » des villes. La remise du prix est part des actes organisées à l´occasion du Sommet Mondial des Villes 2010 (WCS) qui a lieu jusqu´à prochain jeudi à Singapour, un événement d´importance internationale, centré dans des questions comme le leadership et la gestion urbaine, ainsi comme la construction des villes soutenables et respectueuses avec l´environnement et l´adoption de Communautés harmonieuses et soutenables.

L´acte de remise du Lee Kuan Yew World City Prize et le banquet qui se servira postérieurement aux 1.000 délégués internationaux qui prennent part du Sommet Mondial des Villes 2010 (WCS) auront lieu sous la présidence du Ministre Mentor de Singapour, M. Lee Kuan Yew.

Le Lee Kuan Yew World City Prize reconnaît la capacité de leadership de la Mairie de Bilbao pour joindre les différentes visions et objectifs stratégiques des institutions et des organismes publics et privés impliqués dans le processus de transformation de Ville, moyennant la société interinstitutionnelle Bilbao Ria 2000.

Organisé conjointement par l´Autorité de Régénération Urbaine (URA) de Singapour et le Centre pour Villes Habitables (CLC), le Lee Kuan Yew World City Prize se centre dans quatre élements clef : l´habitabilité, la vitalité, le développement durable et la qualité de vie.

Bilbao a obtenu ce prix en concurrençant avec 78 villes candidates de tout le monde. Le processus de sélection a été effectué à deux niveaux, par le biais d´une Commission de Candidatures et d´un Comité du Prix. Les deux jurées ont été impressionnées avec la transformation que Bilbao a obtenue dans une période court de 25 années, dans des questions en rapport avec l´amélioration de l´environnement et de la qualité de vie, la cohésion sociale, le dynamisme culturel et la compétitivité économique.

Un espace simple d´exposition préparé à l´occasion de la conclusion du Sommet Mondial des Villes 2010 (WCS) permet de connaître les processus de transformation urbaine développées à Bilbao et dans des autres trois villes finalistes du Lee Kuan Yew World City Prize: Melbourne (Australie), Curitiba-Paraná (Brésil) et New Delhi (Inde).


La Ville de Taipei partage avec le reste des membres ses expériences

En suivant l´objectif marqué par la commission de partager des connaissances, la Ville de Taipei partage ses expériences en rapport avec des TIC, l´innovation et la connaissance.

Dans le cadre « du Plan pour construire Taipei comme une Ville Intelligente » la Ville de Taipei a effectué l´effort de formuler et implémenter des projets basés en 3 principales stratégies : e-gouvernement, e-Communauté et e-vie. Par exemple ils se sont focalisé dans le « développement d´un Taipei intelligent » par l´établissement d´un réseau sans fil, la promotion de l´« Easycard » et les applications de service mobiles, le développement du Système de Transport Intelligent (ITS), l´expansion la de la ligne d´attention à la citoyenneté 1999, la implementation d´une fenêtre unique de services pour la gestion des plaintes et l´introduction du Projet Sanitaire Résidant ainsi que le service « Fiber to the home ». Au moyen des divers efforts, comme le développement des communications par fibre optique, ils ont cherché de propulser à Taipei comme une ville compétitive et mener à bien la vision « de qualité de vie dans une ville intelligente » et UI Taipei (un Taipei Ubiquiste et Intelligent).

Les expériences sont accessibles dans le Chaine TV de la Commission avec les vidéos : UI Taipei « Ubiquiste & Intelligent » et le Taipei Telecare Programme. Pour voir les vidéos suivez le lien :

 http://www.youtube.com/user/CDCdeCGLU

Nous vous encouragez à partager vos expériences en contactant au Secrétariat de la commission : bilbaonext.promocion@ayto.bilbao.net


Cidades digitais, um mercado promissor

Aos poucos, vários prefeitos estão se interessando em usar a TI para melhorar a gestão de municípios e a prestação de serviços à população

A tecnologia da informação tem um novo papel a cumprir no mundo. Após impulsionar o trabalho de cientistas, renovar os negócios de empresas e, recentemente, mostrar seu valor social e colaborativo, é hora de ajudar as cidades ao redor do mundo a entrarem no novo século, de uma forma moderna e conectada. Estamos ainda vivendo o embrião desse movimento que conta com boas perspectivas, mas há quem o imagine como uma renovação sem precedentes da gestão pública, com a consolidação de todas as teorias sobre sociedade da informação e até mesmo um novo aquecimento de mercado comparável ao Bug do ano 2000.

Esse fenômeno - e mesmo sua definição de espectro - ainda está indefinido. O termo mais usado é cidades digitais. Mas, há quem utilize cidades inteligentes e e-cities. A diferença está no tamanho da revolução que a tecnologia proporciona e na abrangência da estratégia do gestor público. Essencialmente, trata-se de uma comunidade capaz de se relacionar por meio de infraestrutura de banda larga confiável, com serviços inovadores aos cidadãos, que consegue equalizar desenvolvimento com educação e ainda tem agilidade para se modernizar ainda mais. Ou seja, estamos falando de uma ótima cidade para se viver nesses tempos de celulares, Internet e comunicação digitalizada.
No Brasil, o movimento de cidades digitais é consistente, embora não se saiba quantos dos 5.564 municípios brasileiros podem ser enquadrados nessa nova onda. Existem entre 50 e 60 casos conhecidos. Acredita-se que existam ainda mais regiões capazes de entrar nessa lista. Há muitas prefeituras que se entusiasmaram com o conceito e estão procurando empresas que possam ajudá-las a entrar nesse novo mundo conectado.

"Estamos com 30 projetos de cidades do Piauí que querem se tornar digitais", aponta o diretor técnico da Safetway, uma revenda Motorola situada em Teresina, Reginaldo Marreiros. A maioria deve vingar nos próximos meses. Os prefeitos ficaram interessados depois que Parnaíba, situado no litoral do Estado e com 150 mil habitantes, implementou o programa de cidade digital.

O município é o segundo mais populoso do Estado e, historicamente, tem a economia dependente da extração de recursos naturais e de algumas indústrias de alimentos e perfumaria. Contudo, as belas paisagens têm elevado o interesse turístico na região, e a presença de uma universidade estadual, uma federal e várias faculdades tem transformado a cidade em pólo educacional. Assim, com a economia em transformação, o município precisou se modernizar.

O primeiro passo da digitalização de Parnaíba foi a implementação de uma infraestrutura de banda larga wireless para interligar os prédios públicos, serviços de atendimento e sistemas de saúde e segurança. Após a finalização desse processo, mais de 100 escolas receberam conexão à internet, para uso dos alunos em sala de aula e também para o aperfeiçoamento dos professores e a melhora na troca de dados entre os órgãos educacionais. "Tivemos de montar uma estrutura sem fio porque não havia banda larga cabeada confiável, o único serviço existente fornecia apenas 300Kbps", explica Marreiros.

O projeto foi realizado com plataforma de banda larga sem fio da Motorola, que criou um backbone de internet em uma área de 16 quilômetros em torno de uma torre central. A conexão foi posteriormente expandida com uma rede WLAN (Wireless Local Area Network), que utiliza portas de acesso e switches sem fio distribuídos por sete pontos remotos. Com isso, o acesso ficou garantido para a população e turistas em vários pontos, como o Aeroporto Internacional João Silva Filho, Terminal Rodoviário Interestadual, Praça de Eventos, Universidades Federal e Estadual do Piauí, Centro Federal de Educação Tecnológica (Cefet) e Porto das Barcas.

A segunda fase prevê a instalação de câmeras de vigilância que transmitirão as imagens para uma central da Guarda Civil Municipal. Além disso, está prevista a conexão de todo o sistema público de saúde à rede, o que favorecerá a população no agendamento de consultas e no levantamento de histórico clínico dos pacientes. O projeto também prevê o desenvolvimento de bibliotecas virtuais nas instituições de ensino, além da criação de telecentros.

Primeiros passos no mundo digital

Em geral, esse tem sido o caminho adotado por prefeituras que querem se tornar cidades digitais. "Antes de tudo, elas querem uma banda larga confiável para interligar as entidades operacionais públicas e melhorar a troca de informações e a gestão", destaca o gerente da área de Governo e Empresas da Motorola, Joeval Martins.

Posteriormente, ganham prioridade os planos de inclusão digital e melhoria do sistema educacional. Em uma terceira etapa, começam a surgir novos serviços à população. Tudo isso dentro de um ambiente digital. "Com o tempo, os prefeitos entendem que a rede é apenas um meio e começam a inovar", diz Martins.

O projeto de Parnaíba foi inspirado pelo pioneirismo de Macaé (RJ), considerada por muitos a cidade mais digitalizada do Brasil. Neste município carioca, que tem se desenvolvido devido à indústria do petróleo e possui cerca de 200 mil habitantes, o caminho da modernização digital começou com a interligação de 27 prédios da municipalidade por meio de uma rede sem fio WiMesh.

A ampliação do projeto alcançou os postos e a Secretaria de Saúde, bem como cinco praças da região e distritos vizinhos. A rede sem fio de alta velocidade gerou inovações impensáveis anteriormente. O município conta atualmente com uma espécie de telemedicina no sistema de saúde. "Por meio de um celular com câmera, um agente de saúde pode mandar uma imagem de um paciente para que um médico avalie a situação remotamente", explica o diretor da revenda Jevin, Guilherme Cunha, que implementou o projeto na cidade.

Nos últimos meses, Macaé tem implantado o Ofício Digital. O software desenvolvido pela Secretaria de Ciência e Tecnologia é utilizado por 395 usuários espalhados por 146 unidades administrativas. O sistema auxilia na criação e no envio de documentos oficiais, além de facilitar a recuperação desses dados.

Mas, as cidades digitais podem chegar ainda mais longe. Em Cingapura, um sistema inteligente de previsão de tráfego é utilizado para priorizar o uso de transporte coletivo e melhorar o trânsito em horários de pico. Sensores e câmeras se comunicam com um software que controla a abertura de semáforos e facilita a passagem das vias que possuem mais ônibus e estão mais carregadas. Os cidadãos contam ainda com um bilhete que permite utilizar estacionamentos, trens, ônibus e taxis. Os dados são gerenciados pelo governo.

Em Malta, um pequeno arquipélago no Mediterrâneo, sensores e softwares ajudam o governo a economizar energia. O país possui diversas fontes energéticas e, de acordo com a demanda, o sistema direciona o consumo para que a prioridade seja dada para as alternativas mais limpas e sustentáveis. A tecnologia também evita apagões, usando a inteligência digital para evitar cortes repentinos por excesso de carga.

Um mundo a ser explorado

Ambos os projetos têm o dedo da IBM, que também aposta no crescimento desse mercado. No Brasil, a gigante de tecnologia está conversando com várias cidades que serão sedes da Copa do Mundo de futebol de 2014 e que já preveem a necessidade de infraestrutura de banda larga total e controles mais eficientes na administração com o fluxo de turistas e o desenvolvimento econômico propiciados pelo evento. "Os problemas atuais das cidades não serão resolvidos sem tecnologia e os prefeitos começam a perceber isso", aponta o diretor de cidades inteligentes na IBM, Pedro Almeida.

Para ele, essa onda abre várias oportunidades para o mercado de tecnologia, que anda desconfiado quanto à estagnação do segmento corporativo. "Há espaço para a venda de hardware, conexão, softwares e serviços, exatamente como já ocorreu anteriormente com as empresas", diz. Para a IBM, a expectativa é de um novo boom comercial, embora não se saiba se o comportamento será idêntico à demanda no Bug do milênio ou um pouco mais esparso, devido à falta de cultura no uso de tecnologias por gestores públicos e ao excesso de burocracia que costuma interferir nos negócios com governos.

Se a velocidade das compras é desconhecida, por outro lado, há certezas sobre as possibilidades de negócio. "São tecnologias já conhecidas, que estão à disposição e já são testadas e aprovadas", comenta o diretor de gestão pública do CPqD, Renato Stucchi. Para ele, a criação de cidades inteligentes tende a ser em etapas e pode demorar de 8 a 12 anos, mas há uma vantagem. "Como esse movimento está ocorrendo agora, os municípios serão pressionados ao mesmo tempo por todas as ondas de tecnologia que já foram passadas, como sistemas de gestão, Internet, celulares e redes sociais", afirma.

E o futuro é imprevisível. No começo, com infraestrutura de banda larga cabeada ou wireless, esses municípios podem mesmo serem enxergados como apenas administrações digitais. À medida que a integração aumenta, no entanto, a população começa a participar dessa evolução e uma cidade digital começa a se formar. "A criação de novas aplicações para fornecer serviços inovadores começa a mudar o perfil para cidades inteligentes e isso levará, sem dúvida, às cidades sustentáveis", prevê o diretor de desenvolvimento de novos negócios da Cisco, Rodrigo Uchôa. Todo esse desenvolvimento baseado no uso de tecnologia e na esperança que, além de cidades inteligentes, possamos contar com políticos inteligentes também.

Source: por Gilberto Pavoni J. | Especial para CRN Brasil http://www.resellerweb.com.br/noticias/index.asp?cod=68387


Internet móvil superará al desktop en 5 años

Casi la mitad, de los usuarios de Internet, un 48%, se encuentran concentrados en 5 países del mundo, uno de los cuales es Brasil con 67 millones de usuarios y un crecimiento del 14% en el último año. El país con el mayor número de usuarios y el crecimiento más fuerte en el último año ha sido China con 384 millones de usuarios y un crecimiento del 29%. Esto no hace más que confirmar la fuerza de los mercados emergentes y el papel preponderante que economías como la brasileña van a tener en el siglo XXI.

La rápida adopción del iPhone y su exponencial crecimiento en número de usuarios ha sido un factor clave en el despegue del uso de Internet a través del móvil. En tan sólo 3 años después de su lanzamiento, los usuarios del iPhone + iTouch superaron en 11 órdenes de magnitud al total de usuarios de AOL desde 1994 hasta hoy. Según Morgan Stanley en el año 2014 los usuarios ya usarán más el móvil para acceder a Internet que cualquier dispositivo fijo.

Y el número de usuarios de redes sociales ya es mayor que los que usan el correo electrónico desde Julio del año 2009.

Según lo publicado por Stanley, estamos en el 6º ciclo tecnológico de los últimos 50 años. Después de los Mainframes (1960s), los miniComputing (1970s), la era de los ordenadores personales (1980s), "Desktop Internet Computing"(1990s) y la era de Internet Móvil (2000s), entramos en la época de la explosión real del uso de Internet Móvil caracterizada por : más capacidad de procesado, mejora del interfaz de usuario, dispositivos más pequeños, más baratos, explosión de servicios y multitud de dispositivos (más de 10000 millones de dispositivos conectados en el mundo en 2020). Los dispositivos han sufrido una evolución tremenda en los últimos 30 años (todos recordamos las pantallas de los mainframes o AS/400). Ahora son "táctiles", se controlan con los propios dedos (antes con ratones y teclados) y se usan para algo más que la simple comunicación: para consumir contenidos y aplicaciones de todo tipo.

La banda ancha móvil habilitada por la 3G y sus evoluciones será el facilitador de todo esto. Según MS el punto de inflexión mundial para el inicio de la 6ª era es precisamente el año 2010 en el que se superarán los 1000 millones de usuarios 3G en el mundo, lo que supone una penetración mundial del 21%.

El uso de Internet ha cambiado. Las redes sociales y el video lideran la tendencia. Los usuarios de redes sociales en el mundo llegan ya a 850 millones (con un crecimiento anual de un 32%) y lo que es más importante: han doblado el número de minutos que los usuarios pasan en ellas en un 50% desde el año anterior. Facebook cuenta con 471 millones de usuarios, habiendo doblado su número en tan sólo 1 año.

Lo más importante de todo esto es que cada vez el usuario va a valorar más tener en un solo dispositivo integradas las comunicaciones, su agenda, sus juegos, mensajería, videos, música etc.. y que ese dispositivo será un móvil.

El uso del video en Internet va a crecer un 131% (2009-2014) representando un 69% de los datos totales que van a circular por la Red en 2014.

El uso de Internet en los dispositivos Apple o Android es mucho mayor que en el resto de Smartphones lo que indica que la guerra de dispositivos se va configurando entre ambos dos, desbancando a Symbiam, RIM o el propio Windows.

La proliferación de aplicaciones en el móvil y su monetización también es creciente. Algunas características relacionadas con la movilidad como:

  • Los servicios de localización que permiten encontrar los servicios/productos que queremos comprar en la zona en la que estamos.
  • La comparación de precios on-line y en el momento será una ventaja competitiva de las compras móviles frente a las compras tradicionales.
  • Grandes descuentos gracias al ahorro de costes del online.
  • La obtención inmediata del producto que compramos, harán que las compras móviles por Internet tengan características disruptivas frente a las compras tradicionales.

En definitiva, nos quedaríamos con 3 ideas:

  • El móvil será el líder del futuro digital,
  • El vídeo será el principal causanete del crecimiento exponencial del tráfico de datos por la Red
  • Los hábitos de consumo en Internet van a cambiar drásticamente por la irrupción del móvil que aporta parámetros propios e intrínsecos.

¿Queremos liderarlo?

Gema Esteban

Fuente: Fundación Telefónica


Cepal lanza consulta on line de tecnologías e información

Domingo 13 de junio de 2010 | | LND Animus

Una nueva agenda digital para América Latina y el Caribe, que entregue los lineamientos para el desarrollo de las tecnologías de la información y las comunicaciones, es lo que busca conseguir la Comisión Económica para América Latina (Cepal) a través de una consulta electrónica masiva organizada por el Programa Sociedad de la Información.

La encuesta on line, que pueden responder todos los interesados hasta el 16 de julio, aborda 10 temáticas entre las que destacan el acceso a banda ancha, gobierno electrónico y marco legal de internet. "Nuestra consulta quiere recoger la sensibilidad, opiniones y propuestas de todas las personas del ámbito público o privado, que se interesen en las políticas de la sociedad de la información. De esta forma, generar un plan de acción regional para reducir la pobreza, la inequidad y la exclusión social", asegura Anna García, coordinadora de comunicaciones del Programa Sociedad de la Información de Cepal.

García explicó que las respuestas que se obtengan a través de la encuesta se transformarán en un trabajo que se expondrá en la Tercera Conferencia Ministerial de la Información, que se realizará en noviembre en Lima, Perú. "En la conferencia, los países tomarán nuestro trabajo para llegar a un consenso en planes de información y tecnología y, a partir de éste, propondrán los lineamientos futuros a cada país en este ámbito. Por eso es tan importante que todos voten", agrega la coordinadora. Para votar, hay que seguir este link

Fuente: La Nación.cl


Singapore And China To Develop e-City In Tianjin

Senior Minister of State Grace Fu and Tianjin Vice Mayor Ren Xuefeng co-chair third Singapore-Tianjin Economic and Trade Council meeting in Singapore today and witness four project signings, three of which involve the Sino-Singapore Tianjin Eco-City.

In line with Tianjin´s plans to transform into a digitally-connected city and develop its services sectors, infocomm technology (ICT) and modern services will be the key areas of focus for Singapore-Tianjin economic collaboration.

At the third Singapore-Tianjin Economic and Trade Council (STETC) meeting held in Singapore today, both sides agreed to work closely on adopting ICT to develop Tianjin as an e-City, as well as to explore modern services, such as "Meetings, Incentives, Conventions and Exhibitions" (MICE) and retail services.

The meeting was co-chaired by the Vice Chairmen of the STETC, namely Senior Minister of State (SMS) for National Development and Education Grace Fu, and Tianjin Vice Mayor Ren Xuefeng. The Co-Chairmen for the council are Minister for National Development Mah Bow Tan and Tianjin Mayor Huang Xingguo, with International Enterprise (IE) Singapore as the Singapore secretariat for STETC.

Said SMS Fu, "This is the third year since the Council was established and we have seen good progress in bilateral economic collaboration. This includes the Sino-Singapore Tianjin Eco-city and projects spanning various sectors such as environmental services, hospitality, vocational and technical education (VTE), and more. We hope to continue to partake in growth sectors aligned to Tianjin´s development plans and offer not just our consultancy expertise, but project management capabilities as well. The council has identified two key areas to work on for the new coming year, namely leveraging ICT to develop an e-City, and modern services. These are areas that Singapore companies have strong abilities in."

Following the meeting, SMS Fu and Vice Mayor Ren witnessed four company/association project signings:

  • MICE - MOU between Singapore Association of Convention and Exhibition Organisers and Suppliers (SACEOS) and Tianjin International Convention & Exhibition Association to collaborate in expertise exchange, manpower training and organisation of international events.
  • Sino-Singapore Tianjin Eco-City - Land Use Rights Transfer Agreement signing between Sino-Singapore Tianjin Eco-City Investment and Development Co., Ltd. (SSTEC) and Sichuan Neautus Traditional Chinese Medicine.
  • Sino-Singapore Tianjin Eco-City - Land Use Rights Transfer Agreement signing between SSTEC and Singapore´s Pan Asian Water Solutions.
  • Sino-Singapore Tianjin Eco-City - MOU signing between SSTEC and Singapore´s Broadway Industrial Group.

Vice Mayor Ren is in town for a three-day visit from 8 - 10 June 2010 with a 35- strong delegation comprising government and business representatives. They will be visiting various Singapore companies to learn more about Singapore´s maritime and port industry, water and wastewater management, real estate and more.

Fast growth of Tianjin presents opportunities in modern services

In 2009, Tianjin´s GDP was ranked sixth in China, after the cities of Shanghai, Beijing, Guangzhou, Shenzhen and Suzhou. Among these, Tianjin´s GDP growth was the highest at 16.5%. Tianjin´s GDP per capita also reached a relatively high figure of US$8,388 (+ 5%) in 2009, which was close to Beijing´s GDP per capita of US$10,0701. It also saw strong growth in the first quarter of 2010, with GDP at RMB 184.24 billion, an increase of 18.1% compared to the same period last year.

In addition, Tianjin was ranked sixth behind the cities of Hong Kong, Shenzhen, Beijing, Shanghai and Guangzhou in a study on the competitiveness of cities in China by the Chinese Academy of Social Sciences. In the same study, Tianjin was assessed to have the greatest potential for growth in the next 10 years. The above point to the fast growth and business potential of this municipality.

In January this year at the Tianjin Government Work Report2 sharing, Mayor Huang Xingguo highlighted the ten areas that the city is focusing on for 2010.

One of them is the development of the services industry, which plays an important role in economic transformation and restructuring, as well as improving the city´s competitiveness.

With Tianjin´s direction to focus more efforts in services across sectors such as tourism, financial services, logistics, hospitality and more, Singapore companies can come in to offer relevant expertise. The fact that our services sectors accounted for 69% of our GDP in 2009 (at current prices) reflect the importance of services to Singapore and our companies´ capabilities.

Building on close collaboration in tourism and VTE last year, other areas to partner include MICE and retail services.

Adopting ICT to develop Tianjin into an e-City

Singapore companies are also well equipped to offer ICT services and solutions for Tianjin to enhance its business and living environment as a digitally connected city. Singapore has adopted a close private-public partnership approach in its ICT journey, which has since played a significant role in transforming Singapore into a high-tech economy today, creating ease for both the business and social communities.

Singapore companies have developed domain expertise and experience in designing and implementing solutions that can be applied and integrated in various industries, including healthcare, financial services, transport, education and more. Examples include our integrated clinic management system, electronic road pricing system, CitizenConnect, etc.

Therefore, there is much potential in ICT collaboration as Tianjin seeks to become an e-City.

From January - April 2010, bilateral trade between Singapore and Tianjin amounted to US$0.3 billion, a decrease of 10% over the same period in 2009.

In 2009, bilateral trade amounted to US$1.73 billion, of which exports to Tianjin accounted for US$0.96 billion while imports from Tianjin accounted for US$0.77 billion. (Source: Tianjin Commission of Commerce)

From January - April 2010, Singapore´s actual foreign direct investments (FDI) in Tianjin hit US$0.19 billion with eight projects.

As of end April 2010, Singapore´s cumulative actual FDI in Tianjin amounted to US$3.32 billion with a total of 707 projects. In 2009, Singapore was Tianjin´s fifth largest investor. (Source: Tianjin Commission of Commerce)