Dans l´atelier « Travailler dans la Ville » qui a été développé dans le cadre du troisième congrès de CGLU, des autorités locaux des différentes régions du monde, ont coïncidé que stimuler l´innovation technologique est une mesure clef pour promouvoir la génération de plus et meilleurs emplois dans les Communautés autour du monde.

À le Musée Interactif d´Économie, les maires réunis ont discuté sur les difficultés à auxquelles les villes font face devant le manque d´occasions d´emploi et ont conclu qu´il est nécessaire de produire un changement de paradigme sur les actuels marchés du travail pour garantir des meilleures conditions de vie.

L´atelier « Travailler dans la Ville »  a fait partie de la série de discussions  « La Ville du 2030 ». Les rapporteurs aient débattu sur les conditions qu´auront les travailleurs dans les villes dans 20 années, quel sorte d´emplois puissent être offerts et dans quelles économies.

Ils ont remarqué que dans cet aspect on doit être « futurist », parce que l´innovation technologique avance à un rythme accéléré, « il y a 20 ans nous n´imaginions pas l´impact de l´´Internet ou la téléphonie multimédia, nous devons miser sur la qualification dans ces endroits », ils ont souligné.

Michel Destot, Maire de la ville française de Grenoble, a indiqué que 50 pour cent de la population mondiale vivre actuellement dans des grand villes et que la tendance indique que dans le 2050 ce pour cent s´élèvera à 70, ceci, a expliqué, il est du au fait que les gens émigrent aux villes en cherchant de la santé, de la qualification et du travail.

Toutefois, il a dit, offrir ces opportunités il est chaque fois plus difficile, un exemple de cela est l´accroissement de l´emploi informel dans les grandes villes. Sur le particulier, William Cobbett, directeur de l´association mondiale Cities Alliance, a indiqué que la solution à l´informalité sur le marché du travail n´est pas dans son éradication mais en « analyser comment nous pouvons porter le pouvoir de l´informalité à l´économie formel »

Ibone Bengoetxea, le lieutenant de Maire de Bilbao, a souligné que la base pour obtenir le développement des villes en matière d´emploi est en miser sur la créativité et la connaissance et en « se transformer en  une ville intelligente », ceci, a ajouté, signifie de se profiter des divers talents de la population « non seulement donner occasion à des personnes avec des études supérieures, mais aussi promouvoir l´apprentissage d´offices, nous devons traiter de recueillir tous ces talents, les retenir dans des groupes ou des entreprises qui nous aident à être les villes que nous voulons devenir » , il a affirmé.

Cassam Uteem, ex président du Maurice, a coïncidé avec la position de créer des politiques publiques inclusifs  parce que des études récentes suggèrent que les pays qu´incluent aux gens dans la dynamique de leurs économies obtiennent un plus grand développement que ceux que non, c´est-à-dire, « le futur de nos villes et de nos peuples va dépendre de comment nous allons traiter aux secteurs les plus faibles de la communauté » il a soutenu.

Finalement, Claudio Arriagada, maire de La Granja, le Chili, a remarqué que le marché ne résolut pas tout mais ils sont les états nationaux ceux qui doivent produire des politiques publiques en matière de travail et des codes de travail qui protègent aux employés, ainsi que des politiques publiques qui permettent de produire des investissements public-privés qui protègent les richesses de chaque ville.

Les rapporteurs ont conclu que même si les caractéristiques de chaque ville varient largement, est une obligation commune de concevoir des politiques consistantes qui permettent les conditions adéquates pour que tout le monde ait une occasion d´amélioration, « il n´y a pas de solutions magiques, mais nous devons analyser ce qui fonctionne et ce que ne fonctionne pas dans chacun de nos villes, et des espaces comme celui-ci, nous permettent de transformer nos différences en apprentissage » , ils ont conclu.

Source: Comunicación Social D.F.